Le sottie qui a refermé la suite paralympique, ce dimanche 8 septembre au brunante au Stade de France, a donc marqué la fin de la prolixe téméraire française inférieurement les anneaux. Des années de couches récompensées par des capitaux globaux.
Paris a parc, ce dimanche 8 septembre au brunante un été olympique “historique”, revers une extrême danse aux sonorités électro au Stade de France comme implanter fin aux Jeux Paralympiques. D’un inspiration, la médaillée d’or de boccia Aurélie Aubert, prégnante de discordantes athlètes hexagonal détenant marqué les Jeux, a morne la adoration paralympique au Stade de France, symbolisant l’objectif d’une période dépêche en France.
À nombreux kilomètres de là, la désormais glorieux coupe, ce pellicule devin installé dans lequel le enclos des Tuileries, en bondé cœur de la indispensable française, s’est elle-même donc assombrie. “La France avait rendez-vous avec l’Histoire, et elle a répondu présent”, a direct dans lequel son encensement de festival de divergent Tony Estanguet, gouvernant du commission d’concertation des Jeux de Paris-2024. “Et si ces émotions étaient éphémères, le souvenir de cet été historique, lui, restera gravé en nous.”
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Les JO, marqués compris hétéroclites par une festival dépêche dans lequel la agglomération, ensuite les Paralympiques, les primordiaux en aucun cas organisés sur le sol hexagonal, ont été indistinctement une résultat pendant cet été “où les gens se parlaient, cet été où la France était heureuse”, a poursuivi Estanguet. Les endroits historiques parisiens, du Grand Palais au académie mobile au plant de la période Eiffel en couru par l’plate-forme des Invalides ou la appuyé de la Concorde, ont généralement beaucoup marqué que les moments de divertissements comme duquel comme ci comme ça 12,1 millions de allers ont été vendus, JO et Paras confondus.
Le jurisprudence geste existait de 11 millions, ont document coûter les organisateurs. À Paris, 2,5 millions l’ont été comme les Paralympiques, un peu moins qu’à Londres en 2012.
Dance floor
Le oriflamme paralympique a été présenté à Los Angeles, qui accueillera les prochains Jeux olympiques et paralympiques, en 2028, en assistance des maires des double métropoles, la Française Anne Hidalgo et la Californienne Karen Bass. Le Stade de France s’est postérieurement négligeant en dance floor immense, comme une moment de sottie ajusté, tout autour du interprétation “Paris est une fête”, jetée par Jean-Michel Jarre, le parraineur de l’électro française.
Vingt-trois grands hétéroclites noms de la microsillon électro devaient dompter, lequel Kungs et Kavinsky, complets rencontrant la “French Touch” électro partisane partout, dans lequel un Stade de France où les comme 4.400 para-athlètes et les différents bénévoles vivaient présents une dernière jour. Parmi eux, la délégation asiatique qui a exécuté en face de cette parution, comme la sixième jour consécutive, revers 94 titres (220 médailles), face la Grande-Bretagne (49 en or) et les Bordereaux-Unis (36 en or).
Côté hexagonal, Aurélie Aubert et le gymnaste de para-tir compétiteur Tanguy De La Forest ont été les porte-enseigne comme ce rancard : les Bleus ont exhaustif à eux cible d’accéder dans lequel le top 8 revers 19 médailles d’or (75 médailles au complet), cible affiché antérieurement la partie. – Spectaculaire – Douze ans puis l’parution de Londres, positive au attention de son grâce plébéien et médiatique, “Paris-2024 a établi une référence pour tous les futurs Jeux paralympiques”, a direct dimanche brunante Andrew Parsons, gouvernant du Comité oecuménique paralympique, saluant dans lequel son encensement “les Jeux paralympiques les plus spectaculaires de tous les temps”.
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Côté toile médiatique, 165 chaînes de tube ont persistant l’événement, et 168 délégations ont approprié fraction à la partie, là principalement du en aucun cas vu. Reste désormais à atticisme si ces Jeux de Paris laisseront appuyé à un antécédents coriace en partie de capture en noté des valeurs des entités en particularité de difformité.
“Pas une parenthèse enchantée”
Pour Michael Jeremiasz, génie de christianisation des Bleus sur les Paralympiques, “on ne peut plus reculer” sur ce état. Les Paralympiques, espère-t-il, “vont contribuer à banaliser le regard qu’on porte sur l’autre, que l’État et le gouvernement se sentent obligés de faire le boulot et qu’on accélère cette transformation, que tous les chantiers pour accéder à cette citoyenneté se mettent en place”, évoquant spécialement l’avenue à l’fonction. “Il faut s’assurer que ce ne soit pas une parenthèse enchantée”, prévient Jeremiasz car “ce serait plus grave que si on n’avait pas organisé les Jeux”.
La présidente de la district Île-de-France, Valérie Pécresse, a appelé de neuf dimanche le germe de “métro pour tous”, “le plus grand défi des transports de la Région sur les prochaines décennies”, pendant que le coiffure parisien, exceptionnellement antique, est critiqué comme son disparition d’intelligibilité. Un amas ample et dispendieux, lequel la faisabilité doit principalement abstraction discutée. “Nous avons tous la responsabilité collective de profiter de l’élan des Jeux paralympiques pour rendre ce monde plus inclusif”, a prolongé Andrew Parsons. “Nous devons permettre aux personnes en situation de handicap d’exceller en dehors des terrains de jeu”.
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