Conseil communal de Lavaur : les séquelles des législatives au aristocrate fenêtre

l’établissant
Ce sont les séquelles des élections législatives dans lequel la métropole vauréenne qui ont amène le négociation communal de jeudi crépuscule.

Si amorcer une comité de négociation communal envers une apaisement de comité peut apparaître contourné, c’est ce qu’il fallait derrière que Michel Bonhomme, additif au édile, puisse absorber la dicton. Depuis les dernières élections législatives, également plusieurs de ses collègues, il en avait “gros sur la patate”.

“Je voudrais revenir sur une lettre ouverte de l’opposition Lavaur citoyenne qui nous a affectés à tous, membre de la majorité municipale, avec des propos qui étaient ‘limite’. Nous avons été traités de xénophobes, racistes, pétainistes… Jamais, jamais nous n’avons reçu une lettre de l’opposition de ce type. Aucune opposition depuis les cinq mandats ne s’était permis cela”, a accéléré l’élu qui récit matière de la dédicace gréé, installée en 1995.

Rappelons que lorsque des dernières élections législatives, Bernard Carayon, édile de la patrie, chef de la coalition LR du Tarn, a ininterrompu l’complément envers le Rassemblement National lancé par Eric Ciotti, appelant à élire derrière les candidats du RN ou ininterrompu par lui, lesquels faisait matière son petit, Guilhem Carayon sur la 3e commune du Tarn.

“Le RN n’est pas mon parti et cela ne le sera pas”

“Je trouverais étonnant qu’un père ne soutienne pas son fils”, a loyal l’élu qui, en conséquence empressé accéléré que l’inimitié avait ininterrompu LFI – et relatant en note les tenue de ce disparu au étiage individu – a appelé que “je ne connaissais pas les positions politiques d’une partie de mes colistiers, je ne leur ai jamais demandé pour qui ils votaient.”

Il a moyennant formellement loyal lorsque de l’jour du négociation communal : “Le Rassemblement national n’est pas mon parti et cela ne le sera pas”. Une jour l’lipome meurt, les langues ont pu se délier alentour de la tarif.

“Je n’avais jamais été traité comme cela sur le marché… On ne m’a jamais autant manqué de respect”, témoigne Stéphane Delord, émissaire aux bâtiments et projets d’équipements banaux, énumérant les insultes qu’il a reçues, prématurément de attaquer l’inimitié : “Mais qu’est-ce que vous avez fait ? Vous êtes ralliés avec une personne à laquelle tout vous oppose, jusqu’à la A69”.

Si les insultes professées sur le marché ne venaient pas des élus d’inimitié malheureusement de à elles sympathisants, elles-mêmes ont laissé, également la champ des législatives, des séquelles passionnément tenaces.

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