Dans les rues de Toulouse, méconnaissables milliers de Toulousains ont escorte malgré Emmanuel Macron

l’basal
Ce chahut incessamment, méconnaissables milliers de manifestants ont étrillé le caillouté à Toulouse malgré “le coup de force” d‘Emmanuel Macron. Récit d’une floraison dessous le présage de la irritation malgré le cacique de l’Point.

Ce devait dépendre une floraison stable sur la animation Jean-Jaurès de Toulouse, simplement le rencontre régi par les futurs jeunes des partis de obtus (EELV, NPA, LFI, GENERATIONS.S, Place Publique Jeunes 31), simplement également les syndicats étudiants (Unef, Union Agrégative et le Souffle) a totalisé beaucoup de monde qu’un défilé s’est somme toute brillant jusqu’à Arnaud Bernard moyennant 16 h 30 ce chahut 7 septembre.

D’en conséquence la maréchaussée, les manifestants vivaient grossièrement 4 500, ressources motivés à affaisser cousiner à eux entremetteur parmi les rues toulousaines, à différents centaines de mètres de la prolixe débit. À ce matière, Paul, ironisait, drapeau précis. “C’est la grande braderie, tant mieux, on vient acheter un peu de démocratie, car elle semble en solde actuellement !” Un peu comme éloigné, Solange, fainéante de l’Dignité nationale, justifiait sa compagnie de ce fait : “On vient pour que nos enfants et nos petits-enfants ne puissent pas nous reprocher de n’avoir rien fait face à un tel déni de démocratie. C’est quand même aberrant que Macron ait choisi un Premier ministre issu d’un camp qui ne représente que 8 % des Français à l’Assemblée nationale. Quand je vois ça, je suis très en colère.”

Christophe Bex et LFI vont essayer de détrôner Macron

Présent à cause conformer les rangs des manifestants, le intermédiaire LFI de la 7ᵉ région de Haute-Garonne, Christophe Bex, a attaché à menacer : la anathème attend Michel Barnier. “Nous allons censurer ce gouvernement qui n’est absolument pas légitime, tout simplement car nous avons, au Nouveau Front Populaire, gagné les élections le 7 juillet dernier. J’annonce aussi que nous allons engager une procédure de destitution d’Emmanuel Macron. Les masques vont tomber. Emmanuel Macron a appelé au barrage républicain au second tour des élections, et là c’est sans doute le RN qui va soutenir le camp présidentiel. C’est une honte.”

Pauliana, 28 ans, se retrouve parmi les projet du intermédiaire Bex. Pour lui-même, sélectionner Michel Barnier revient à affaisser le jeu de l’insupportable main. “C’est un énième retournement de veste du président qui s’allie avec le RN pour faire en sorte de ne pas voir Michel Barnier censuré. Pour moi, c’est important d’être là pour montrer que nous ne sommes pas d’accord et qu’on n’en peut plus d’être pris pour des idiots, même si on sait qu’il ne nous écoutera probablement pas…”

Charlie, potache occitan de 24 ans, parle de son côté d’une “démocratie bafouée”. Et également on lui pétition ce que lui inspire le frais Premier médiateur, il rétorque également sec : “Un peu comme l’ensemble des Républicains, du dégoût et un manque d’avenir.”

Après une degré d’une pâteuse plombe, le défilé s’est discontinu, rien heurts, moyennant 18 heures.

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