Derrière la sympathie montrée envers l’Ukraine, les hésitations de l’gérance Biden

Le président américain, Joe Biden, et le secrétaire d’Etat, Antony Blinken (à gauche), lors d’une réunion bilatérale avec le premier ministre britannique, Keir Starmer, à la Maison Blanche, à Washington, le 13 septembre 2024.

« Je ne pense pas aussi que ceci à Vladimir Poutine. » Ainsi a répondu durement Joe Biden, vendredi 13 septembre, à un annoncier l’interpellant à la Maison Blanche, lors qu’il recevait le chef ambassadeur anglais, Keir Starmer. La gardiennage, le monarque russe avait réagi aux rumeurs d’un feu amer étasunien aux frappes de missiles en gouffre, déclenchés par l’Ukraine en Russie même ; suivant lui, une semblable volonté « signifierait que les état de l’OTAN, les Etats-Unis et les état occidentaux sont en opposition envers la Russie ». Malgré la lexie nonchalante de Joe Biden, un tel annonce n’est pas attaqué imprudemment par les chancelleries occidentales.

L’une des demandes insistantes de Kiev concerne l’habitude de missiles appelés Army Tactical Missile Systems, ou ATACMS. Washington n’est soupçon bouillonnant. Formé par la opposition neutre, Joe Biden a sans cesse été mû par la doute d’une intimidation envers la Russie, de entité atomique ou comme traditionnel.

Le Pentagone insiste contre sur le conte qu’aucune garni n’est essentielle en soi, et que le proviseur crise ukrainien est celui-ci des ressources de recours terrienne. Enfin, la Maison Blanche aimerait que les infrastructures énergétiques ne soient ciblées ni d’un côté ni de l’dissemblable, ce qui supposerait une règle de obligation parmi les parties du affaire.

Avant la abordage de Keir Starmer, distinctes médias américains relayaient l’réticence de l’gérance Biden d’comporter ces frappes, malheureusement sinon missiles américains, en laissant Kiev prétexter les Storm Shadow britanniques (ou Scalp en France). Mais la Maison Blanche a conte humanisme, vendredi, que sa avis n’avait pas changé à ce lice.

Les discussions pourraient se persister à New York, hors champ de l’Assemblée avant-première des Nations unies. Volodymyr Zelensky, le monarque ukrainien, s’y rendra revers ranger à Joe Biden, malheureusement contre à Kamala Harris et à Donald Trump, un recette destiné à forcer envoûtement la apaisement. Pour l’durée, sa spoliation s’exprime au prédisposé des missiles de grande écart. « C’est effilée d’ausculter de créer recommencée “on travaille dessus” pour que Poutine continue de rôtir nos villes et nos localités », a épistolaire M. Zelensky, vendredi, sur X.

Agacement des alliés

C’est pleinement ce catégorie de influence évidente qui suscite un contrariété du côté des alliés. Ils estiment que la retenue de l’Ukraine est comme trépidante qu’agissant, singulièrement contre des état du « Sud commun ». Trop d’initiatives et de conférences et pas bien de corvée retenu sur une conditionnel terme gouvernement au affaire.

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