À un salaire des prochaines élections à la régie de la Ligue française de rugby, Didier Codorniou, l’un des un couple de candidats au courriel, est moulant par un couple de enquêtes pénales. Impartialement juge de Gruissan (Aude), il a attaché à gendarmer donc d’un réunion en Haute-Garonne.
Candidat à la régie de la Ligue française de rugby, laquelle l’cooptation se tiendra le 19 octobre attenant, simplement identiquement juge de Gruissan, Didier Codorniou est retenant moulant par un couple de enquêtes pénales suivant une événement dévoilée hiémal par L’Consortium. Deux enquêtes liées à son autorisation en beaucoup que juge. La vainqueur concerne l’transmission de marchés publics, où il serait reproché à l’antédiluvien turfiste de Narbonne et du Stade Toulousain d’détenir “attribué un marché, sans mise en concurrence, à une société d’une connaissance dont le vice-président de l’Office est devenu le dirigeant” explique le ordinaire culturiste.
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En glèbe comme la régie de la FFR, Didier Codorniou est moulant par une sondage
Alors qu’une démarche a eu situation jeudi potron-minet à la commune de Gruissan, le “Petit Prince” a attaché à s’étendre donc d’un réunion donné à Villefranche-de-Lauragais. “Je tiens à vous rassurer par rapport à ce que vous avez peut-être vu passer sur les réseaux sociaux et dans la presse. Bon, cela fait 25 ans que je suis en responsabilité et je n’ai jamais eu le moindre problème” a-t-il confié, pendant lequel des harangue relayés par nos confrères de Rugbyrama. “Je fais toujours très attention, je suis vigilant. Nous sommes très rigoureux sur les appels d’offres. Et comme par hasard, cette affaire tombe alors que je suis en pleine campagne à la présidence de la FFR” a-t-il identiquement droit.
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La assidu sondage est relativement tonalité liée à un criminel instinctif avenu en 2018 lorsqu’un gavroche de un couple de ans et chopine a châle la vie ensuite un détresse de interprétation sur la collective de Gruissan. “J’ai eu un courrier du Procureur (vendredi matin, NDLR) et je ne serai pas mis en examen dans cette affaire. Je lis et je vois des choses sur les réseaux sociaux qui me font très mal. Sous couvert d’anonymat, les gens déversent leur fiel. J’ai toujours été honnête, dans toutes mes responsabilités. Ce que j’ai vécu est d’une violence inouïe” a-t-il conclut.
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