Franck Proust, monarque de Nîmes commune, relaxé par la tribunal d’invective de Montpellier : “20 ans de cauchemar s’achèvent”

Pour Franck Proust, monarque de Nîmes commune, relaxé à l’résultat d’une oblongue ficelle, a réel “un supplice psychique amplifié par la médiatisation.”

A l’résultat d’une formidablement oblongue ficelle, Franck Proust, monarque de Nîmes commune, a été relaxé ce jeudi 12 septembre par la tribunal d’invective de Montpellier, comme l’agence de la Senim, l’simple collège d’pouvoir composite chargé de l’installation de Nîmes et de l’concrétion. 

Ce vendredi 13 septembre, l’élu, vers lesquels l’panorama pouvoir se dégage, a réagi à la acceptation procédurier. “Mes premiers mots s’adressent à ma famille qui a souffert comme moi des accusations qui étaient portées et du “il n’y a pas de vapeur rien feu”, phrase terrible quand on est réellement innocent.”

“Je n’ai été reçu qu’une fois quelques minutes”

“Quiconque n’a pas été happé par une affaire judiciaire ne peut comprendre les conséquences sur la vie personnelle, familiale et sociale. Les poursuites auront duré vingt ans et parmi les neuf juges d’instruction qui se sont succédé, je n’ai été reçu qu’une fois quelques minutes”, repousse Franck Proust, qui fend l’lard et se assuré sur le place de l’alarme aussi que sur icelui de la pouvoir et du franc. 

Franck Proust a réel “un supplice psychique amplifié par la médiatisation qui associe votre nom à des intentions délictuelles que vous n’avez jamais eues, à des actes délictuels que vous n’avez jamais commis comme l’enquête de police l’avait déjà conclu dès le début”. 

“Les traces sont indélébiles”

“Aujourd’hui est une délivrance mais les traces sont indélébiles et le temps ne se rattrape pas.”

“20 ans de cauchemar s’achèvent. Ce n’est pas une nullité de procédure ou un artifice de cet ordre-là. Non, c’est un arrêt de la Cour d’appel qui consacre une innocence pleine et entière. Après un examen exhaustif de tous les éléments du dossier, les magistrats montpelliérains ont considéré que les poursuites n’étaient pas justifiées.”

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