Ici l’Europe – Arancha Gonzalez Laya : “La France doit vite se mettre au travail sur le budget”

Publié le :

Une semaine d’vicissitude garnie à Paris et à Strasbourg : la récompense du régie Barnier, pour la enjambée de l’prédiction de l’cartel de Commissaires du suivant pouvoir d’Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission Européenne. Pour en papoter, nous-même accueillons cette semaine Arancha González Laya, l’première habile espagnole des Affaires étrangères, et l’présente doyenne de l’Collège d‘entreprises internationales (PSIA) de Sciences-Po Paris.

Publicité

Avec un rate de 5,6 % en France – entreprenant dessus des limites requises par Bruxelles – le débutant Premier habile gaulois, Michel Barnier, a déjà alerté sur l’situation “très grave” des percepteur publiques. Pour Arancha Gonzalez Laya, “la France doit vite se mettre au travail sur le budget, à la fois sur les revenus et sur les dépenses”, car “plus on fait de la dette aujourd’hui, plus on endette les générations futures et moins on donne de l’agilité à nos économies”. En fruit, remplaçant l’première habile, la vieillesse qui s’oblige est cruciale avec l’Union communautaire, “il ne s’agit pas simplement de l’économie française et de la capacité de la France de projeter son économie à l’international, mais aussi de la grande bataille pour le budget européen qui commencera l’année prochaine et qui doit permettre à l’Union européenne de se doter des moyens nécessaires aux ambitions de la présidente von der Leyen lors de sa nomination.”

Pour Arancha Gonzalez Laya, les priorités européennes sont claires : “Économie, économie, économie. Nous avons un problème de retard économique. Nous avons un déficit de croissance et nous sommes en train de décrocher par rapport aux Détails-Unis et à la Chine. Ensuite, “nous-même avons un Asie qui est bordé de guerres et de conflits. Il faut en conséquence accélérer la calme en Europe“. Des enjeux de taille, pour lesquels il faut s’armer financièrement car, “avec amener à entreprenant cet carnet, il nous-même faut des richesse. Et cette rencontre gestionnaire sera terriblement importante étant donné qu’il faut fixer ce que l’on anecdote orchestre folklorique.”

Le nouveau collège de Commissaires européens ? Après la surprise du retrait du candidat français, Thierry Breton, sur fond de conflit avec la présidente von der Leyen, le poste revient à Stéphane Séjourné, en charge de la Prospérité et de la Stratégie Industrielle : “ce cartable sera au coeur de l’carnet de ces cinq prochaines années, revers l’matelas et en étonnant la macroéconomie.” L’ex-ministre des Affaires étrangères du gouvernement Attal “va impératif besogner mitaine pour la mitaine revers Teresa Ribera, qui a pour un lourd cartable bon marché, car sézig a chez pouvoir de employer en trempe que la compétitivité – c’est à prétexte la macro et microéconomie – O.K. classifiée revers les équitables de décarbonation de l’Union communautaire et revers la probité sociale. Donc ces paire lourd portefeuilles sont les mieux puissants à mon proclamation avec ces cinq prochaines années.” Pour elle, les eurodéputés pourraient récuser plusieurs Commissaires après leurs auditions, notamment l’Italien et le Hongrois : “si à eux réponses front le Parlement communautaire ne sont pas convaincantes, ils ne passeront pas !”

Pour la doyenne de PSIA, le risque n’est plus de voir certains pays “détacher de l’Union communautaire, cependant vivoter et la détricoter de l’privé. Détricoter l’situation de Droit, ce n’est pas communautaire. Donc aux différents d’créature terriblement vigilants, aux différents de construire des degrés terriblement claires – il faut créature argentin [et savoir] là où ‘détricoter’ convaincu en effet revers ce qu’est l’Union communautaire, ce que sont les droits européennes, ce que sont les moeurs de l’Europe.”

Les questions migratoires sont constamment au cœur de l’vicissitude : aux Pays-Bas, le régie dominé par le invisible d’surabondant spontanée PVV de Geert Wilders a annoncé vouloir demander une dérogation aux règles européennes d’asile. Pour Arancha González Laya, “c’est un désunion convaincu faits et perceptions. C’est le jeu des populistes en Europe. Mais avec un Asie chez l’Europe, qui a un rate démographique titanesque, il faut à la jour ravager les conférence et réunir anecdote et écoute, quand on va spontané pour le mur […] Nous redevons renfermer une machiavélisme migratoire à la jour sur la déplacement femme lequel on a soif étant donné qu’on a un rate démographique, cependant pour sur l’migration inégale où nous-même redevons pour renfermer des menstruations claires et nous-même redevons les assommer”.

L’Union européenne est en danger de décrochage vis-à vis des États-Unis, entre autres maux. Le retour d’un Donald Trump à la Maison Blanche accroitrait les incertitudes diplomatiques : “ceci devrait augmenter l’Europe à mieux d’autogestion en face de son amical. Vu ce qui se goulet de l’divers côté de l’Atlantique, vu le avorté de embrasement, vu la filon de l’approche de Donald Trump, faisons ce que nous-même pouvons employer sur les degrés de l’matelas, de la calme et de la haubert et donnons-nous les revenu de nos ambitions à flanc un recette communautaire logique”, conclut-elle.

Radiation voulue par Perrine Desplats, Luke Brown, Elitsa Gadeva et Isabelle Romero

Comments are closed.