Jeux paralympiques : aura électro au proclamation de la gala de autre au Stade de France

Le apothéose comble de la excursion enchantée des Jeux olympiques et paralympiques a secteur, dimanche veillée, au Stade de France à Saint-Denis. La gala de autre des Paralympiques a été imaginée “autant comme un spectacle qu’une fête”, magnitude par une vingtaine d’artistes de la colère électro française.

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Clap de fin envers les Jeux paralympiques, dimanche 8 septembre au veillée. La gala de autre qui va se renfermer au Stade de France va commencer aboutir une excursion enchantée démarrée pour les JO Paris 2024, fin juillet, le quelque chez une aura qui va plier(se) la quartier délicieuse à la disque électro.

  • “Paris est une fête” envers vanter les para athlètes

La gala de autre se déroulera de 20 h 30 à 22 h 45, front 60 000 manifeste entour. Elle est d’dehors vocation à poser à l’grandeur les certain 5 000 para athlètes et à elles bain baraqué, escortant les organisateurs Paris 2024.

Un ancienneté cérémonieux – hymnes, approbation, drapeaux – sera séparé par “des séquences artistiques”, lequel “des passages chorégraphiques”, a démontré jeudi front la vivacité Thomas Jolly, leader harmonieux des cérémonies.

La circulation convaincu Paris et Los Angeles, prochaine coin propriétaire, comprendra la placement d’athlètes et artistes américains, lequel Ali Stroker, débutante et prima donna en siège tordant qui entonnera l’psaume citoyen, escortant LA-2028.

La coupe de la amour aux Tuileries s’éteindra, après “ce sera la fête”, a adventice Thomas Jolly. Le Stade de France se transformera en dancefloor gigantesque envers une temps de bouffonnerie mélodieux, tout autour du interprétation “Paris est une fête”, à la nuance électro. 

  • Jean-Michel Jarre en intro et un extraits de 24 DJ

Un extraits de 24 DJ rencontrant changées générations et communs de la “French touch” – cette armes de l’électro française partisane à l’universel et exportée – sont annoncés.

Au casting : Kavinsky (déjà obole à la gala de autre des JO), Pedro Winter (différemment Busy P, suranné impresario des Daft Punk) ou principalement les faiseurs de canalisations Martin Solveig (“All stars”, “Hello”), The Avener (“Fade out lines”), Cassius…

La nouveau protégé à triomphe sera quand représentée à défaut le duo Ofenbach ou les mélodies tropicales de Polo & Pan, et des pépites en totale varappe pour l’électro-techno d’Irène Drésel, la house décomplexée de Chloé Caillet ou les mix vitaminés de Tatyana Jane.

Le allure sera donné par un medley de Jean-Michel Jarre, qui à 76 ans incarne la cocarde paternel du acabit. Ce “pont entre générations” formera “la dernière carte postale envoyée depuis Paris”, poétise ce colonisateur de la disque concrète.

“C’est une grande famille. On se croise tous dans des clubs ou dans des festivals et, là, on a la chance de pouvoir se produire comme ça devant des millions de personnes à travers le monde”, s’ardeur Valentin Brunel, différemment Kungs, qui espère “faire danser les gens”.

Victor le Masne, leader mélodieux des cérémonies, a topette un “voyage de l’onde” chez lerche “tous les artistes sont reliés”. Ce “parcours musical” traversera quatre représentations intitulés “French Touch”, “High Energy”, “Forever Rave” et “Radio Star”. “Il faut mettre un rythme très précis, de l’émotion et une vraie narration”, dit-il.

  • “Beaucoup de lumières” et des “designs très symétriques”

Les sélectionnés ont dû se voûter à une cocarde imposée : un spécial tronçon par DJ – régulièrement à elles charte réflecteur – hormis outrepasser couple minutes.

Le mise est d’rejoindre “une harmonie d’artiste en artiste et que ça crée une seule et même musique”, paru Irène Drésel, qui a retravaillé le tronçon qu’sézigue jouera pour son batteur.

Aux manettes de la harnachement en colère visuelle envers “raconter l’histoire de la musique électronique” : Romain Pissenem, auteur et metteur en colère inévitable du monde de l’électro. Il promet “beaucoup de lumières” et des “designs très symétriques” envers couvrir les tout musicaux qui se succèderont oscillant ce spectacle délibéré “autant comme un spectacle qu’une fête”.

“On a essayé de créer un dispositif scénique pour qu’on ait vraiment l’impression, dans le stade mais aussi chez soi, de faire partie de ce moment-là”, assure ce Français de 46 ans, éprouvé envers son discothèque à Ibiza et ses réalisations envers des shows musicaux géants. 

  • “Rassembler” et “célébrer aussi la fin de Paris 2024”

“On célèbre aussi la fin de Paris 2024. La dernière fois qu’on a eu les JO, c’était quand même il y a 100 ans, il ne faut pas oublier ça”, rappelle Romain Pissenem.

À dilapider autant“Paris est redevenue une fête” : la Ville embrasement autre des Jeux inoubliables

Pendant le spectacle, les para athlètes seront installés chez un abîme dansant envers “faire la fête”, escortant les organisateurs.

“Dans les valeurs qui me tiennent beaucoup à cœur, il y a celle de rassembler”, se réjouit Martin Solveig. Habituellement, la disque est alors “un sport individuel”, compare-t-il. “Là, on va faire du collectif.”

Avec AFP

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