Jeux Paralympiques : de l’finance qui vaut de l’or quant à le Toulousain Lucas Didier, malade par l’capable Laurens Devos

Déjà géniteur d’un partie supérieur, Lucas Didier s’est penché en conclusion du partie paralympique vers l’capable belge, Laurens Devos (11-9, 11-7, 11-6), ce chahut 7 septembre.

D’un couru côté, c’trouvait le persistance qu’ils cherchaient. Mais s’il se produisait, il les mettait avoir là-dedans l’fonction. Les parents des Toulousains Ugo et Lucas Didier devaient agréer ce chahut compris la conclusion du 4x100m indienne vacant de l’premier à la Paris la Cotte Arena, ou icelle de Lucas en tennis de répertoire à la Porte de Versailles. Lucas a incessamment réglé l’feuilleton.

“La famille, je l’ai envoyée à la natation. Ça me stresse de les avoir avec moi”, lançait-il derrière sa demi-finale étonnant remportée vers l’Australien Ma Lin, qui n’a que son balustrade malappris depuis ses 5 ans, son balustrade intègre gardant été feuilleté par un plantigrade lorsqu’il trouvait en avanie formateur au zoo de la commune.

“On préfère ne pas y aller”

“Il fait un sport où il y a beaucoup de pression, et quand il y a ses parents dans la salle, il s’en met plus. Je suppose que c’est parce qu’il veut bien faire. On a le droit de venir dans la salle mais il ne faut pas qu’il nous voie. On préfère ne pas y aller”, assurait la dépôt, Valérie, là-dedans Ouest France, à l’audition des sensations de ses garçons.

Cette appui multipliée quant à Lucas n’est pas bonne. Le éphèbe de la fratrie n’avait qu’une hasard de s’raconter, vers cinq quant à le frère, rangé sur cinq courses (1 insigne d’or, 2 d’finance). Pour souvenir, les un couple de frères ont une handicap des amas inférieurs depuis à elles entrée, n’ont pas de moelleux, ni de ligaments croisés.

“C’est beaucoup de stress d’avoir ses deux enfants engagés. On a commencé à vraiment profiter de ces Jeux a validé sa médaille (mercredi). C’était un gros soulagement. C’était essentiel que les deux reviennent avec une médaille à la maison”, appréciait Valérie.

Battu par le Belge Laurens Devos, invaincu depuis sept ans

Pour Lucas, immatriculation 4 cosmopolite, l’finance est hormis prémonition le puis adorable des métaux qu’il pouvait réduire. L’or trouvait inaccessible. Le Belge Laurens Devos (24 ans), désormais triple médaillé paralympique en écusson et invaincu depuis sept ans, est capable. D’absent, il concourt en tenant les valides là-dedans le concours belge…

La perf’marquante solde la demi-finale endroit à l’Australien Ma Lin (10-12, 11-9, 7-11, 12-10, 11-8), Chinois d’entrée et quintuple médaillé paralympique, laquelle quatre d’or. “J’étais déjà heureux de ma médaille de bronze. Pour cette demie, j’étais parti défaitiste, ce qui explique que je prends 6-0 d’entrée. D’habitude, dans ce genre de scénario, je ne m’en relève pas. Mais là, avec le public… C’était 7 000 contre 1. On ne revivra jamais ça”, assurait-il en tenant une banane jusqu’aux oreilles. La sang Didier, mutuellement, pourrait avoir guérir le même persistance en 2028, à Los Angeles. En ensemble cas, on à elles souhaite. Sauf si Lucas dicton d’placarde…

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