Les vice-présidentes du Diocèse de la Lozère Françoise Amarger-Brajon et Patricia Brémond répondent aux cruciaux de Robert Aigoin

Les conseillères départementales des cantons de Mende-2 et de Marvejols ont ratifié l’prédilection de Laurent Suau le 9 août 2024 à la présidium du conseiller départemental, au lésion de Jean-Louis Brun, toutefois inspirant de l’naïve quorum. Attaquées par la information répulsion, et particulièrement par Robert Aigoin, mentor du Collet-de-Dèze, elles-mêmes se justifient.

L’prédilection de Laurent Suau à la présidium du conseiller départemental de la Lozère continue de procéder des secousse. Lors de la dernière réunion, mardi 17 septembre 2024, Robert Aigoin, mentor départemental du matière du Collet-de-Dèze, avait particulièrement demandé à Françoise Amarger-Brajon et à François Robin, le paire du matière de Mende-2, de excuser ce qu’il continue de titrer de “trahison”.

Si Françoise Amarger-Brajon n’a pas attaqué la formule front l’enveloppe locale, lui-même est définitivement randonnée du arrêt par le penché d’un cote. “Oui, lors d’une réunion de majorité, j’avais indiqué que je voterais pour Jean-Louis Brun à la présidence du Département si Sophie Pantel était élue députée. Cependant, je ne savais pas que Laurent Suau poserait sa candidature. J’en ai été informée seulement le 8 août. J’ai voté pour lui, pas seulement parce que c’est un ami, mais parce que je connais ses compétences et sa force de travail. Il gère une ville de 13 000 habitants, une communauté de communes, un hôpital… Il a fait ses preuves. Il a toute ma confiance.”

Manque de poids ?

Celle qui est de ce fait inspiratrice municipale à la municipalité de Mende a de ce fait des mots durs vers l’naïve présidente Sophie Pantel. “Certains élus de votre nouveau groupe se plaignaient de la gouvernance de la présidente et avaient ces mots : “On ne peut babiole lui attestation, on ne la changera pas…”, s’adresse Françoise Amarger-Brajon à Robert Aigoin. Oui, j’avais peur que Jean-Louis Brun, que j’apprécie par ailleurs, continue comme d’autres d’être sous son emprise. Vous vous étonnez par ailleurs du vote par procuration que m’a confié François Robin. Vous dites que j’ai voté contre son avis ? De quel droit ? Connaissez-vous sa consigne ? Lorsque l’on nous qualifie de “traîtres”, attention ! C’est grave ! Quand j’étais vice-présidente, on ne me donnait aucune représentation aux cérémonies. On envoyait même des conseillers d’autres cantons. Je n’étais même pas informée de certaines réunions concernant les solidarités…”

Personne écartée, c’est tantôt un peu décevant”

Patricia Brémond, lui-même, avait répondu donc de la réunion. Voici sa contrecoup : “On nous demande de nous justifier, même si on n’est pas au tribunal, je vais quand même le faire. Je voulais rappeler que sous l’ancienne majorité j’étais déjà deuxième vice-présidente. Je pense avoir fait le job qui m’a été confié en matière de jeunesse, d’éducation, d’enseignement. Cependant, je n’ai jamais été sollicitée pour représenter la présidente lorsqu’elle ne pouvait pas se rendre à différentes manifestations. D’autres y ont été à ma place. Cela a changé quand je m’en suis émue et étonnée. Être écartée, c’est parfois un peu frustrant.”

La bailli de Marvejols est de ce fait revenue sur l’fondation des séjours vers les jeunes Lozériens à Paris donc des Jeux olympiques et paralympiques, cet été. “À aucun moment je n’ai été associée de près ou de loin à cette opération décidée ensemble en réunion de majorité et après en conseil départemental. C’était pourtant ma délégation. Quand j’ai demandé pourquoi, on m’a alors répondu que les services avaient refusé de travailler sur ce dossier. Après renseignement, il s’avère que le confier au cabinet était bien une volonté première de la présidente. Un moment donné, quand on évince les gens, il ne faut pas s’étonner qu’ils s’en aillent.” Il n’est pas manifeste que cette bain pernicieux dans quorum et répulsion se détachement de vite.

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