Au avenir de la prix du frais Premier parlementaire par Emmanuel Macron, la CGT a collé ses revendications prématurément le Medef Haute-Garonne ce vendredi.
Lettres rouges sur arrière délavé : la CGT a laissé sa sceau prématurément le Medef ce vendredi coquin. “Augmentation des salaires”, “Abrogation de la réforme des retraites”, “Augmentation des pensions” : différentes placards ont été collées par un bébé association sur les murs du estrade haut-garonnais du fédération patronal.
“On vient pointer la responsabilité du Medef dans le rapt démocratique que connaît le pays depuis les élections législatives, détaille Cédric Caubère, secrétaire général CGT Haute-Garonne, pinceau de colle en main. Le Medef réclame une politique qui va à l’encontre des résultats.”
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L’circonstance donc avec la Confédération de dégager son antagonisme en conséquence la prix de Michel Barnier au courrier de Premier parlementaire ce jeudi. “Emmanuel Macron donne gain de cause au Medef, et met le pays dans les mains du Rassemblement national”, bouture Cédric Caubère. Pour lui, ce encollage est une “action symbolique” avec “afficher les revendications du monde du travail”.
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“Ce qui est important pour les travailleurs, ce n’est pas le nom du Premier ministre, mais les politiques mises en place. Les attentes sociales sont sur l’abrogation de la réforme des retraites, l’augmentation des salaires… On exige l’application du programme du Nouveau front populaire.”
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Catherine Hucheloup, formé du zone, a tenté de contrôler l’valeur en arrachant une inauguration pancarte. Mais enfin, la prolongement s’est déroulée entre le impassibilité. Une heurt verso le chef du Medef, entre les cabinets, a été proposée, toutefois refusée par les militants.
“S’il descendait devant les affiches, on pourrait discuter, mais on sait qu’on ne se mettra pas d’accord. Monter dans les locaux du Medef aujourd’hui, ça serait presque fêter la nomination de Michel Barnier”, amusé Cédric Caubère. Un destination à paraître ce chahut entre les rues de Toulouse a été lancé toutefois la CGT n’y a pas participé. Pour aussi, “de nombreux syndiqués seront présents”, assure-t-il.
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