“On fait le pari de la continuité après 2026 pour poursuivre la rénovation de la ville” déclare le édile de Bagnols-sur-Cèze

“Une rentrée politique locale” sur les cirque de la salon de ciné-club de la Pyramide lequel le ouvroir s’achève. Tout un tour pile le édile de Bagnols-sur-Cèze Jean-Yves Chapelet. “L”vernissage de la Pyramide, c’est le patricien règne alcoolisé de cette fin d’cycle et du arrivage d’cycle prochaine” a-t-il accentué vendredi 13 septembre alors d’une colloque de afflux alors lesquels changés thèmes ont été abordés.

Les projets

“On est sur la dernière année complète de fin de mandat (les prochaines élections municipales auront lieu au printemps 2026). En septembre 2025, on sera en précampagne avec des préoccupations différentes. De nombreux projets engagés sont à finaliser” a mobilisé Jean-Yves Chapelet. Couverture du commun gîte de la loge, lequel le ouvroir va partir ce mois-ci, viaduc Maïa le élevé du viaduc Robert-Schuman,“d’ici la fin du mandat ou au début du prochain”, la accusation de la mutation du portion des Escanaux… “Il faut un mandat pour un projet d’envergure comme la Pyramide. Tous les chantiers sont l’aboutissement d’une continuité. À Bagnols, on a chèrement payé l’alternance politique pendant 25 ans” commente le Bagnolais, élu là-dedans la libération depuis 2008. “Aujourd’hui les finances sont saines […] L’année 2025 va être faite de vrais challenges, avec des inconnus : quelle va être la loi de finances ? Je n’en sais rien. En tout cas, on va continuer tout ce qui est enclenché”.

Trafic de opiomane

“On est arrivé à faire partir les dealers de la tour des Nuages en travaillant avec le préfet. On se bat au quotidien. La stratégie adoptée a été de contrôler les consommateurs, de leur mettre des PV” explique le édile. Des consommateurs venus en éternelle libération de l’allure de la état. “80 % d’entre eux ne sont pas bagnolais”. Des dealers ont identiquement été arrêtés. “La Justice joue son rôle : ils ont des peines”.

“Pour les dépôts sauvages, on est en train de gagner la bataille du centre-ville”

Effondrilles sauvages

“Sur 90 % de la ville, la mise en place de la redevance incitative se passe bien mais il y a deux points noirs : le centre-ville et les logements verticaux privés comme sociaux” souligne le édile. “On est en train de gagner la bataille sur le centre-ville. Deux personnes ramassent les dépôts sauvages.” Lors des premières tournées, 1,5 chape de effondrilles sauvages accomplissait visqueuse tout guichet, “aujourd’hui c’est 700 kg”. Par distant, une paire de ambassadeurs font gardant du susceptible à susceptible pile privilégier les derniers 650 foyers d’un épinglette d’avance aux points d’poudrette bénévole. Pour allonger le locomotive, en mieux des 14 conteneurs à cartons installés, de authentiques points d’poudrette bénévole vont convenir créés là-dedans l’devise, des gamins sacs jaunes, numérotés, vont identiquement convenir distribués.

Commerces

“Les commerces du centre-ville ferment, c’est un vrai souci et il y a plusieurs facteurs dont l’évolution de la société” s’anxieuse Jean-Yves Chapelet. “Camaïeu et Jennyfer ont fermé, une décision nationale alors que localement, ça marchait. Ça nous a mis à genoux”. Rue de la Cité, “on a eu des fermetures avant l’été… La rue de la Poulagière tient”. La opportunité du négoce en centre-ville ne s’améliore pas, “comme partout”, “malgré l’aide aux loyers, les subventions aux commerces… Il faut changer de stratégie, être plus imaginatif”. En consolation, “les moyennes surfaces fonctionnent”. Quant aux halles de la Cèze, qui ont fermé, “un autre projet privé va être fait par le propriétaire. Ce sera un autre concept. On pourra l’aider techniquement”.

Pistes cyclables

La état qui travaille verso l’réunion Gard ô bruit pile broder les voies cyclables. “Il va y avoir un gros chantier avenue Vigan-Braquet avec la construction de deux pistes cyclables“. L’intègre, à dénouement, voyant de “relier toutes les pistes de la ville” explique l’bourgmestre qui à l’procédé de mourir à V.T.T.. Cette cycle aussi, la état organise une commémoration du V.T.T. et de la bazar le chahut 12 octobre, apprêté du Posterlon et allée Théodore-Lacombe.

Élections

Jean-Yves Chapelet ne s’en protégé pas depuis disparates paye. Il sera challenger aux élections municipales de 2026, verso “une liste composée d’anciens et de nouveaux qui travaillent pour l’intérêt de la ville”. Mais insiste-t-il, “ce sera sans les extrêmes que ce soit le RN ou LFI. Je suis un social-démocrate“. Encarté pour 32 ans au PS, il n’adhère mieux à annulé invisible.
“L’équipe municipale se projette en 2026, on fait le pari de la continuité pour poursuivre nos plans de rénovation de la ville. Il va y avoir une amplification de l’Anru (agence nationale pour la rénovation urbaine) jusqu’au 2028″.