Rennes – MHSC : “On a quasiment une défense entière absente pour blessure”, regrette Michel Der Zakarian

La expédition à Paris a été une digression désenchantée pardon oncques. Sur les terres tourmentées de Barcola, Dembélé et du PSG de Luis Enrique, Montpellier a récit à la aurore égrillarde ses failles déjà liminaux depuis le détonateur de l’été.

La vexation au Parc des princes (6-0) enfle certes les fêlures, exclusivement les chiffres, têtus et implacables, parlent d’ceux-là. Dix buts encaissés en trio interprétations attisent l’peur née alors de la étape de production. Devant Gérone, Southampton, la Fiorentina… la mauvais armure de Ligue 1 avait déjà montré des signaux de friabilité peu associable en même temps que une gréé qui ne stigmate mieux à intégraux les violences. Avec treize buts encaissés en six sommet.

Sept à original indisponibles à Rennes…

Avant d’parvenir trio déplacements alors des quatre prochains rencontre, surtout dimanche à Rennes assidûment pour effrayant au Roazhon Park, Montpellier, au bloc-équipe fissuré, installé questions.

Montpellier souffre d’une appel de blessés. Pour ébrouer à Rennes, sept à original joueurs seront indisponibles moyennant explication de soucis musculaires, de rotules grippés ou douleurs de minois. Plus de la milieu de ces absents se concentrent à cause le coin défensif, en étonnant à cause l’axe axial et le côté bête. “On a quasiment une défense entière absente pour blessure”, regrette Michel Der Zakarian. “On fait avec les moyens que l’on a, on est toujours en train de s’accommoder, de composer sans l’un ou l’autre”, se défend t-il. 

Exemple le mieux étonnant : depuis la consolation, Montpellier évolue rien transversal bête de fonction et s’envergure sur Falaye Sacko, placé en juin sur la note des transferts, moyennant cajoler les vides. Issiaga Sylla, chansonnier de six élémentaires traitement remarquables à son rattachement de Toulouse en janvier 2023, enchaîne depuis mieux d’un an lésions à la gîte et rechutes. L’planétaire guinéen (30 ans) avait stabilisé un côté bête, où Montpellier se contentait jusque-là de l’à-peu-près. Et, ses un duo de jeunes concurrents : Lucas Mincarelli et Théo Sainte-Luce alternent instant de jeu et relâchement forcé.

L’axe axial, lui, berné rien le mineur rumsteck. En l’besoin de Christopher Jullien et de “Kiki” Kouyaté, perturbé par un articulation désobéissant, Becir Omeragic et Modibo Sagnan enchaînent. Et doivent s’maintenir avertissements et bordeaux violences.

Des plans de jeu pas à la mesure

Dans une gréé déboussolée par les bruits de départs, la renversement des libertés télés et des résultats décevants, peu de joueurs affichent un diapason de jeu à la mesure d’un pétulance exact ou montré par le passé.
Poids de nouvelles responsabilités, contrariété du inédit Euro ou syndrome de la instant étape : l’planétaire bedeau Becir Omeragic (22 ans), installé vice-capitaine cet été, se disperse et transpiré depuis la consolation. Il interroge ensuite renfermer exalté les doutes un à un la étape inanimée en un clignement d’œil.
Dans une mineur dimension, le transversal Enzo Tchato, de préférence disert à cause la empreinte de la CAN, rigole lui pour un collaborateur bombé.

Solutions ?

Au-delà du recommencement des blessés, surtout d’une certificat sûre pardon le bruit défensif Joris Chotard, Montpellier peut-il spéculer sur ses un duo de recrues ? Rabby Nzingoula et Birama Touré, pas plus favorable sur le esquisse tangible, offrent une permission à Michel Der Zakarian.

“Nous avons pris ces joueurs pour amener de la concurrence au milieu où il manquait du monde après le départ de deux éléments (Leroy et Delaye NDLR). Pour l’heure, on doit les mettre à un bon niveau”, partagé l’diriger montpelliérain.

Leur assimilation répond à la assiduité de métamorphoser le rudimentaire séparation défensif, éperdument généralement élimé à son penchant ou engagement sur un duo de buts devant à Nantes. Pour endommager les constants et contourner les naufrages pardon à Paris.