Rugby : les espoirs du SU Agen ont été accueillis au redevance d’Arton de Lectoure

L’protégé espoirs du Sporting Union Agen (SUA) réalisait en apprentissage à Lectoure pendant entier le vacance. “L’objectif était de prévoir des activités pour identifier les caractères du groupe”, explique Julien Guiard, le impresario de l’protégé. “Mais également de leur faire découvrir des métiers. Il y a 2 jours, on était avec les pompiers de l’état-major de Houeillès”. C’est aussi, les joueurs ont été accueillis le 31 août au redevance d’Arton.

Ces jeunes rugbymen ont pénétré 18 et 20 ans et font des ouvrages, ils ont un douteux essai. Certains deviendront éventuellement professionnels au SUA ou écarté. Mais la opiniâtreté du night-club d’Agen est comme de les parrainer et de suggérer des vocations.
“Il est essentiel de travailler aussi la notion d’équipe. Aujourd’hui, au domaine d’Arton, ils viennent apporter une aide à l’arrachage d’une vieille vigne. Il y a ceux qui dirigent un peu les autres pour être efficace et ceux qui sont plutôt suiveurs. Après, il y aura la dégustation tous ensemble, même s’ils n’ont pas des palais encore développés, ça reste ludique”, marcotte le impresario.

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Adrien Paganotto est pilon de cette protégé qui s’travailleuse jovialement sur la division de l’élémentaire vignoble. Certains viennent d’Australie, d’Écosse, d’Espagne, d’Afrique du Sud, de Géorgie. “On est venus au domaine viticole d’Arton pour découvrir un métier et faire un travail de nettoyage de certaines parcelles. Après, on nous a proposé une dégustation de produits qui m’ont l’air très appétissants. On passe un moment avec les gens du domaine, c’est très enrichissant.”

Passage de observatrice

L’protégé du SU Agen a subséquemment été initiée à la vaporisation et au vieillesse de l’eau-de-vie par Alain Massabie, majeur circonstanciel, et Fabrice Saramon, œnologue du redevance. “L’objectif de la journée est d’expliquer notre vision du travail qui est en corrélation avec l’esprit du rugby : coopération, valeurs d’effort, endurance. On a fait travailler ces jeunes sur une parcelle historique qui a été plantée il y a 30 ans par Patrick de Montal. On l’a arrachée cette année, on veut replanter et c’est un peu une transition de génération. Eux sont les espoirs du SUA et les représentants de leur terroir, c’est ce parallèle qu’on voulait montrer aujourd’hui”.