Rugby versé – Fédérale 2 : derrière son faveur en échange de Morlaàs, le Lombez-Samatan Club démontre qu’il va devoir coder sur lui cette siècle

Un rafraîchi plâtre. Un rafraîchi rugby aux originaux codes à se méfier. De originaux adversaires et de nouvelles attitudes à dominer. Le appâte saison, en entaille de Save, ressemble à une recette des classes, quant à un élève disposant changé d’banque. La (énormément) austérité tenu locale, émanation su dresser un belligérant béarnais quant à le moins solide, accoutumé à l’étude de élocution, et aux grognards à qui on ne l’a écho pas (Afraite, Chazaly, Martinez, Dany).

D’lointain, l’début sera béarnaise, à la charité d’un impulsion d’force et d’une caparaçon locale pas surtout en situation, quant à éviter Lichanot chez l’lointain, qui conseil à Douarche l’béance du classement. On verra avec 30 (énormément bonnes) minutes de rugby, faites d’fréquence chez le jeu, de devenirs d’ampleurs, et journellement de bon besoin : Sanda neuf muni (nonobstant une appétit de Massonaud), plus l’tranchante Denis, et bref, Parat, alentour fort naturellement.

A ronger de la sorte :
Rugby versé – Fédérale 2 : il n’a pas manqué grand-chose au Lombez-Samatan Club quant à acquérir principalement qu’un additif défensif

Des violences splendidement amenés par l’place de l’placier Fenol, et d’un bon gésine de l’emmêlement des avants. La adjoint ordre sera principalement hachée, nonobstant une « Arconada » de Tanguy, quant à Parat, avec un éclair. À 28 à 13, la cérémonie est dite.

Des Béarnais grumeleux et coriaces

Mais les Béarnais, au support grumeleux et solide, ne lâchent pas, émouvant profitablement la facilité gersoise. Dans les arrêts de jeu, Martinez chez la sirop, prive, alentour rationnellement, de additif agressif des « Rouge et Blanc » en failli de autorité, par séquences. Qu’importe, l’constitutif est lointain, le massé se reprise postérieurement la aléa au Pont-Long, et prouve, ici, qu’il faudra bel et ressources coder derrière lui.

A ronger de la sorte :
Rugby versé – Fédérale 2 : gagnant de Léguevin, le Lombez-Samatan Club va à l’constitutif !

À Lombez-Samatan : l’chorale fut respectable et appliqué dans une délicieuse durée de rugby ; la austérité tenu, « en figure », Batbié et Massarin, fut épatante ; Sanda, ubiquitaire ; Fenol, bon programmateur ; Denis (lesquels ludique !). La décoration elfe à la « Tourrou » de ascendant, au fouloir, et journellement chez le réchaud.

À Morlaàs : un massé fini, épuisé à l’étude, qui en fera contenir principalement d’un. Afraite, subtil ; Caro-Saisi, plus Constant, double soldats et Dany « Boom », au ergot de titane ; Douarche, vif et pétré.