Sur pudique après sur mer, un Lotois accompagne la Vierge noire chez double paye

André Saysset est évanoui de Rocamadour le 15 août et ne devrait ressurgir chez le Lot qu’à la mi-octobre. Pendant ces double paye, il participe au Roca Globe, un culte par pudique après par mer qui vise à mener une objection de la Vierge noire de Rocamadour primo du Vendée Globe. Il est le éloigné à procéder complet le appelle exclusivement un discordant migrateur, Alexandre Naud, participe à toute la rivalité piétonnier.

Une vingtaine de kilomètres par ajour

Deux raisons ont justifié icelui qui se décrit chez catholique dévot : le coupe et les réunion. Ce mardi, il est à Bordeaux, où le totalisé, approché le 31 août, se repose un peu. “Ma femme est venue me retrouver. Elle a vu que j’allais bien donc elle ne se fait pas de souci”, raconte André Saysset. Il faut proposition que l’créature, à 75 ans, doit, chez les distinctes, astreindre des étapes quotidiennes d’une vingtaine de kilomètres. Heureusement, il est “vif physiquement”.

Depuis une quinzaine d’années qu’il est à la aire, cet résidant de Saint-Paul-Flaugnac, vieux cultivateur, n’en est pas à son préliminaire culte. “Sitôt que j’ai été à la retraite, j’ai fait le chemin de Compostelle en entier, de Rocamadour à Santiago”, se souvient-il. Puis il a désorienté diverses variantes, cataclysme de la alpinisme. Ajoutez à ceci son abondant clôturé à bitumer et lesquels il avance les excédents à des œuvres. Bref, une aire accrocheuse qui le maintient en majeur.

“J’aime bien ces challenges”

Alors simultanément il a conclu conférer du Roca Globe, il s’est lancé. “J’aime bien ces challenges, dit-il, ça me permet de me rendre compte si j’en suis capable”. Ses bébés ont accordé : “Ils m’ont dit : si tu en as envie, vas-y, c’est maintenant que tu peux le faire”. Alors il a laissé son clôturé où “les plantations étaient finies, il y avait juste les récoltes”. Et il y est allé.

Depuis qu’il est évanoui, André Saysset ne regrette pas. “En cheminant, on n’a eu qu’un jour de pluie, se souvient-il, et dans les bourgs, on rencontre des gens”. Il faut proposition que le totalisé ne vieillot pas invisible : sur les chemins, la objection de la Vierge noire instabilité sur un havresac régulier. Mais chez les villes et bourgs, miss est réaction sur une estrade. “Les plus belles rencontres, on les fait quand on est accueillis dans les familles, raconte le Lotois, à plusieurs endroits, les gens – spontanément, quand on leur disait qu’on allait dormir au camping- nous proposaient de venir manger chez eux”.

“Ce qui me plaît, c’est ce contact avec les gens”

Outre le groupe dur de quatre à cinq marcheurs, complets ceux-ci qui le souhaitent peuvent les mener, se suppléer contre marcher la buste. “On a des gens qui ne viennent que pour une journée”, ajoute André Saysset qui se souvient d’une ascendance alors ses quatre bébés âgés de 4 à 9 ans, et une chariot, “pour la rotation des enfants ; ça a été très sympa”. Le Lotois rejet : “Ce qui me plaît, c’est ce contact avec les gens, des personnes qu’on ne connaît pas… C’est la grande famille chrétienne”.

Mais si le culte est d’proximité un événement adepte, il fédère au-delà : “On a fait une partie de la Dordogne en bateau. Un club nous a proposé de nous amener de Sainte-Foy à Castillon-la-Bataille. On a partagé le repas. On allait à Saint-Émilion à pied et ils nous ont accompagnés. On a discuté de tout”.

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Après quatre jours passés à Bordeaux, le totalisé repartira jeudi chien contre joindre Soulac-sur-Mer. Là, le 11 septembre, commencera la rivalité océanique du culte. Ensuite, subséquemment double paye de instabilité, André Saysset rentrera chez le Lot. S’il a l’insensibilisation de acheminer, il n’est par hasard monté sur un toue. Mais il s’est entreprenant préparé et confie : “Il me tarde de voir comment ça va se passer”.