TFC : prospérité assuré et médaillés honorés, ce dimanche, à l’circonstance de la garden-party du Havre

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Trois points. Dimanche 15 septembre (17h), ce sera le mot d’cadence du TFC, qui n’a davantage gagné là-dedans son pépinière du Petit-Wembley depuis six salaire. Des travées bondées (davantage de 29 000 ouvert attendus) qui célébreront les champions de Paris-2024 lequel les gens seront présents. Que à elles volontés soient congé !

À davantage d’un emblème. Alors que les médaillés olympiques et paralympiques, invités à se abouter aux festivités, seront célébrés par les Indians Tolosa en crochet Brice-Taton (le association les mettra aussi à l’étendue lorsque de la prochaine garden-party de Lyon), le TFC serait privilège hébraïque de réconcilier pile le prospérité. Cette cycle (2 nuls, 1 glas). Ainsi qu’à la cottage – où la triomphe lui échappe depuis nettement 196 jours.

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Autrement chiffré : 28 semaines ou, davantage déplorable mieux, 6 salaire et 12 jours. En contrecoup, la dernière route remonte au 3 germinal 2024 et à un impressionnant 2-1 extérieur à Nice. Menés sans tarder (8e) par les Aiglons, les Violets avaient imaginé l’durée de jeu afin faire à elles agression (65e, 69e) afin un couple de buts d’académie œuvre de Dallinga ensuite Gboho.

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Sans épancher là-dedans la peloton de spath, il est raide à miser que Carles Martinez Novell signerait des un couple de mains, en principe d’bientôt, afin un aboutissant reproduit. Bref, triade points, c’est plein ! Quand privilège même l’présentateur portugais, on le sait, s’cloué à ce que son staff prenne du contentement. Que le jeu O.K. son appareil. “On se base aussi sur les choses qui ont marché, a-t-il tenu à préciser suite au revers contre les Marseillais (1-3). Nous n’allons pas tout changer, j’aime l’énergie que dégage le groupe. Bien sûr il y a beaucoup à améliorer. Et non, nous n’avons pas spécialement axé la semaine de sur la défense. Les détails se trouvent également en attaque lorsqu’on a la balle. Afin de ne pas la perdre, justement, et encaisser des buts.” Imparable.

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Si vous-même existiez en villégiatures au salaire d’août, ne vous-même inquiétez pas, Djibril Sidibé assure le bonté après-vente. “Si on a la pression du résultat ? Non, pas tant que ça. Après, oui, on attend cette victoire à domicile avec impatience. Face à Nantes (0-0, J1), on était proches de gagner ; le gardien (Alban Lafont) a fait son match comme on dit. Les joueurs aussi, je crois. Il y avait de quoi être frustrés au coup de sifflet final mais c’était assez plaisant. À Nice (1-1), le contexte était particulier avec l’état du terrain. Marseille enfin : on démarre bien jusqu’au carton rouge de Frank (Magri, 27e).”

Souvenez-vous l’arrière-saison extrême…

“Pour battre l’OM, tu dois sortir la copie parfaite” reprend le entraîneur qui avait été fatigué la cycle défunte au Stadium par le HAC et une fin de objet cauchemardesque. Tout à l’opposé du prospérité azuréen : aplanissement de l’combattant à la 83e et but acquérant du 2-1 à la 90 + 5 !

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“On a vraiment à cœur de l’emporter, appuie Sidibé. Non pas parce que c’est Le Havre qui a effectué une entame réussie comptablement (6 points au classement). Mais parce qu’on bosse, on demeure à l’écoute, et j’estime qu’on a des arguments à faire valoir. On mérite d’être récompensés dans très peu de temps. J’espère que ça le sera devant Le Havre. Gagner pour embrayer une série, conclut le latéral droit, c’est le but.”

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De l’empressement. C’est ce que l’présentateur du Tef comédie comme son appui réalisé. “En dehors de sa technique, sa justesse, sa faculté à casser les lignes, Djibril est un soutien pour l’équipe. Une aide précieuse. Il apporte sur l’état d’esprit général au sein de l’effectif. J’aime comment il vit chaque instant de manière positive.” À davantage d’un emblème.

La feuille de match.
La quotidien de divertissement.
INFOGRAPHIE – DSAS

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