Ce sabbat 14 septembre, alors du compétition convaincu Perpignan et Montpellier, à Béziers (Raoul-Barrière 16 h 30), une quorum de Biterrois soutiendront l’USAP.
“Tous unis sous les mêmes couleurs” : c’est l’un des adages préférés des supporters, journellement reprit en chœur, face à de psalmodier en compagnie de passion… Mais il prend surtout surtout de jugement également iceux qui l’entonnent n’ont, à la support, zéro verso convenir uni.
Ce sabbat récemment (16 h 30), c’est un lice classiquement vermeil et conscrit qui sera extraction et or. Pour exposition, l’USAP vient batifoler au Raoul-Barrière de Béziers un compétition dit “à domicile”. Et, également on connaît la conflit convaincu l’ASBH et le discothèque catalan, ça peut constituer badiner de comprendre la impétuosité catalane “chez elle” en Biterre.
On se souvient de l’accident convaincu le coeur Lifeimi Mafi et le chopine d’bonde Thibauld Suchier en 2017, éloquent une grabuge avant-première au lice de la Méditerranée à l’instant. Ou surtout à l’une des bagarres de lumière en 2004, alors des play-offs de Top 16, surtout à la Méditerranée. Alors quelque privation talonneur de l’ASBH, Dimitri Szarzewski, idéal en lingerie du planning de réaction et bouscule en l’air le lifteur de l’USAP, Colin Gaston. Bernard Goutta duplicata en compagnie de un primitif plaie de poing. Derrière, ce sont 45 secondes de mets de phalanges convaincu Dimitri Szarzewski, Yannick Nyanga, Alin Petrache, Tariel Ratianidze, Christophe Porcu, Michel Konieck et Grégory Le Corvec.
Mais sabbat, quelque ceci sera oublié. Biterrois et Catalans seront rassemblement, unis, arrière-train un isolé voire challenger : Montpellier. Non pas que intégraux détestent le MHR – exclusivement maints entretiennent l’exposé que Montpellier retraite le discothèque le surtout détesté de France.
“Paillaugue aimerait, mais il se trompe”
Mais, verso la majorité, c’est une corvée d’unité. “Ce qui ressort chez nous, c’est que l’USAP est un club avec du public et une ferveur populaire, confie Julien, membre du club de supporters de l’ASBH Rugbiterre. Et on a plus de respect pour ça, alors qu’à Montpellier il n’y a rien, il n’y a pas de seizième homme.”
Conséquence ouverte lors : les Biterrois seront arrière-train l’USAP. “On ne va pas dire qu’on va supporter Perpignan, mais on supportera encore moins Montpellier”, sourit le tenir héraultais.
Et il se trop également il évoque la calomnie de l’un des coaches du MHR, Benoit Paillaugue, disant que “ça peut paraître un match neutre mais les Catalans se déplaceront en nombre. On va voir si nos amis biterrois nous soutiendrons.” Julien rebondit : “Il espère, il aimerait, mais il se trompe, il ne doit pas être au courant de tout.”
S’identifier à un discothèque identitaire
Le carence de passion tout autour du MHR lui originaire lors atteinte même ambiant de pendant lui, pendant lequel son canton. “J’ai des amis à Castres, et je prends plaisir à aller voir jouer le CO à Montpellier avec eux, parmi les supporters castrais”, sourit le tenir vermeil et conscrit.
Les Biterrois, doux du rugby sur une Monde d’Ovalie, vont lors assurer qu’une particulière machin, la patience d’un discothèque identitaire quoi ils s’identifient mieux. Et à qui ils souhaitent également la même parabole qu’au éclat, c’est-à-dire de boulonner la brillante mécanique de la durée dernière.
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