“Un aveu masqué du gouvernement”: le dirigeant du Canton du Gers réagit aux déclaration de Bruno Le Maire

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Pointées du nuage par le gouverne qui panneau une renchérissement du rate allocutaire, les collectivités locales se rebiffent depuis mardi. Exemple bruissement le dirigeant du Canton du Gers, Philippe Dupouy.

Après la excursion d’une bordereau du fonction de l’Economie, évoquant une “augmentation extrêmement rapide des dépenses des collectivités” entre les explications à la renchérissement annoncée du rate des détails publics à 5,6 % du PIB en 2024, les élus ne manquent pas de moufter. Y entré parmi le Gers.

“Alors qu’avec mes homologues élus de départements et de régions, nous ne cessons d’alerter le gouvernement sur les baisses des recettes de nos collectivités, nous voilà désormais pointés du doigt comme coupables d’un déficit national, regrette Philippe Dupouy, président du Département. Il s’agit là d’un aveu masqué de ce gouvernement, d’avoir plongé notre pays et ses services publics dans une grave crise financière.”

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Pour l’élu gersois, “ces propos résument nos collectivités à de simples banques de dépenses, alors même que nous agissons au plus près des besoins de nos concitoyens : solidarités, mobilités, éducation, pour ne citer qu’eux ; souvent même en venant se substituer aux manquements de l’État”.

Pour presser son déclaration, Philippe Dupouy rappelle autant “que les collectivités locales ne peuvent présenter des budgets déficitaires, contrairement à l’État”. “À en croire le ministre de l’Économie qui semble “déceler la balance alarmante des collectivités locales”, il y a manifestement eu un raté dans le rapport du budget de l’État, mission encore récente du député de la 1re circonscription du Gers (Jean-René Cazeneuve, NDLR)”, tacle le dirigeant du Canton en balance.

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