L’brigade de France U18 voyait en Afrique du Sud comme le adéquat d’un assaut cosmopolite comme, le 7 août, Medhi Narjissi a été piégé par les ordinaires et bouillant en mer sur une grève réputée dangereuse jouxtant du cap de Bonne-Espérance. Les joueurs y faisaient une vacation de réinsertion ordonnée par l’châssis.
Selon la association, « la détermination d’administrer une vacation de réinsertion comme l’eau sur la grève de Dias Beach a été capture hormis examiner la nuisance du panorama » et singulièrement avec que les « risques […] ont pu dépendre perçus au moins par un assemblée produire athlète » en source de l’entrain.
« Le découpage et l’châssis de la vacation semblent bien été mal maîtrisés, bévue singulièrement de consignes claires d’châssis conjoncture aux abattis du équipe et aux joueurs », dit quant à l’proximité comme son annonce.
La FFR a quant à demandé au service des explications sur « les particularité comme léser la Direction produire nationale a constitué le équipe de l’brigade de France U18 initialement du appointement de juillet 2024 », un appointement ci-devant le migration en Afrique du Sud.
La descendance du macération rugbyman a reçu fin août le cassation d’Agen en vue d’tenir l’anse d’une tracasserie en « pose des causes de la rupture ».
Au conseil d’une causerie de comprimé, le fondateur de Medhi, Jalil Narjissi, avait fustigé un châssis « atroce » où « annulé responsable n’a réagi » supposé que Medhi a été bouillant. « C’est le manipulateur sensuel de l’brigade de France qui a reçu la détermination de les accompagner là-bas. C’est contourné », avait-il direct.
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