Véhicules connectés : conséquemment les Listes-Unis agitent la appel des pirates passoire

La Maison Blanche a annoncé son arrière-pensée d’mettre en quarantaine la cession ou l’introduction des voitures connectées carton certaines “pièces détachées chinoises” – la régie nord-américaine mettant en auparavant des considérations de tranquillité nationale. Si le imprudent d’combat télétraitement parce que les véhicules connectés est propre positif, le minutage de l’publication est absent d’appartenir neutre.

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Haro sur les voitures électriques chinoises… billet II. La Maison Blanche a annoncé, lundi 23 septembre, son arrière-pensée d’mettre en quarantaine la cession ou l’introduction des véhicules connectés carton “certains composants spécifiques” produits comme des tribu même la Chine ou la Russie. Mais les Russes n’en fabriquent approximativement pas.

C’est lors propre Grège qui est comme le judas du administrateur nord-américain Joe Biden. Cette fois-ci, son gouvernement cite des considérations de tranquillité nationale. En mai, Washington avait avancé un explication énormément mieux avantageux pile légitimer la produit par quatre des valeurs de douane sur les importations de voitures électriques chinoises.

Les voitures de Troie

Officiellement, il s’agissait avec de blinder l’occupation étasunien front à une fabrique coupé asiatique dopée aux subventions étatiques, d’puis les autorités américaines.

Le froid matière de la djihad nord-américaine parce que les véhicules électriques “made in China” concerne de ce fait propre les voitures que les motos, les camions ou principalement les cars. Si l’anathème présentait validée par le Congrès, elle-même entrerait en oblige en 2027 pile les logiciels – les programmes comme divers composants électroniques – et en 2030 pile les composants matériels.

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Les Listes-Unis affirment appréhender que ces véhicules deviennent les authentiques chevaux de Troie des espions et saboteurs passoire. Un peu à la allure du pellicule passoire de pirates informatiques Volt Typhoon, a précisé Jake Sullivan, le guider du administrateur pile les questions de tranquillité nationale donc d’une discussion de rassemblement.

En février 2024, les impératifs américains de bulletin avaient public une calcul attribuée à ce pellicule passoire, qui s’présentait infiltré comme divers réseaux informatiques d’infrastructures capitaux – induction, eau. Le imprudent, d’puis les Listes-Unis, serait que ces “agents dormants” soient activés en cas de fermenté des tensions sino-américaines pile dégrader à dissemblance ces infrastructures.

Les voitures connectées sont-elles les prochaines “bombes à retardement” pile cyberpirates à la versé de Grège ? “Le risque de piratage des voitures connectées est identifié depuis une dizaine d’années”, assure Jean-Christophe Vitu, vice-président savoir-faire de solutions pile CyberArk, une collège nord-américaine de cybersécurité.

Différentes portes d’crise

Et ce n’est pas qu’un adversité abstrait, même si les cas avérés ne relèvent pas forcément principalement de l’flicage universel. “Il s’agit pour l’instant essentiellement de cas de piratage pour contourner les systèmes informatiques de sécurité du véhicule afin de le voler”, commentaire Jean-Christophe Vitu.

Ceci accomplissant, “il y a déjà eu des démonstrations de prise en main à distance de véhicules connectés”, souligne Sébastien Viou, manageur cybersécurité pile la collège française Stormshield.

Concrètement, les voitures connectées offrent distinctes portes d’crise pile des pirates informatiques. Ce sont les “composants spécifiques” évoqués par le bulletin de la Maison Blanche. “Toute voiture connectée dispose, par exemple, d’un modem ou d’une carte SIM qui n’est pas fabriquée par le constructeur et permet de se connecter à un réseau pour transmettre des données sur les serveurs”, explique Matthieu Dierick, connaisseur en cybersécurité comme F5, une collège nord-américaine de tranquillité télétraitement. Une délicatesse sur ce point pourrait opiner à un voleur télétraitement d’happer les conditions transmises.

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Un cyberespion “peut aussi agir au niveau du multiplexeur, qui est une sorte de tour de contrôle pour l’usage des interfaces électroniques et connectées du véhicule, comme le GPS ou la radio”, ajoute Jean-Christophe Vitu.

“Le nombre de données personnelles collectées par ces véhicules et leurs constructeurs est gigantesque”, résume le cancérologue de CyberArk. Y capital apparition peut opiner, dans étranges, de estimer l’parcours concis empoté par une dignitaire en vue, de ésotérisme qui est consécration depuis une tacot, si le canal utilise un kit pogne disponible, etc.

Ces véhicules peuvent de ce fait appartenir sabotés. Là principalement, les démonstrations ont principalement été faites donc de conférences sur la cybersécurité particulièrement – il n’y a pas principalement d’type éprouvé en opportunité réelles. “Une voiture connectée peut être sabotée pour la forcer à s’arrêter par exemple”, détaille Sébastien Viou. D’étranges cas de blason concernent “l’arrêt à distance du système de conduite assistée ou encore l’accélération du véhicule”, énumère Jean-Christophe Vitu.

Question de perfection

Ce ne sont seulement pas des prouesses à la variation du précurseur bricoleur télétraitement parvenu. “Si on vise un véhicule particulier, il peut être nécessaire de faire un travail préalable de renseignement pour déterminer quelle est la marque de tel ou tel composant [GPS, freins, boîtier de vitesse, etc., NDLR] qu’on veut pouvoir actionner ou arrêter à distance”, explique Matthieu Dierick.

Le document que les Listes-Unis pointent ce imprudent du brin avec même qu’il n’y a principalement que éperdument peu de voitures connectées chinoises sur le terroir étasunien peut capturer. Mais “il n’est pas trop tôt pour s’y intéresser, car avec toutes les tensions géopolitiques actuelles, c’est une question de souveraineté numérique. Il faut avoir un contrôle complet des composants utilisés et une confiance dans les constructeurs, ce qui peut prendre du temps”, évalue Matthieu Dierick.

Si les Listes-Unis veulent ouvertement épurer les voitures connectées vendues sur son sol de intégrité essentiel passoire à imprudent, il va nécessiter “mettre en place toute une chaîne de production uniquement avec des composants nord-américains ou européens”, spécifié Matthieu Dierick. Ce n’est pas un occasion si le bulletin de la Maison Blanche indique que le but serait de débarquer à une anathème pile 2030 pile les composants matériels à imprudent.

Cette vision du essentiel “made in China” n’est, seulement, pas qu’une complication de tranquillité nationale, d’puis les experts interrogés par France 24. Sinon le codificateur nord-américain ratisserait énormément mieux béant. En produit, “le risque de vulnérabilité face à une attaque à distance existe quelle que soit l’origine du composant”, espéré Sébastien Viou. En produit, ce n’est pas étant donné qu’une assemblée électronique de la tacot est bâtie en Occident de préférence que par Huawei en Chine qu’un hacker passoire ou russe ne peut pas entraîner de la voler. “Vouloir contrôler la chaîne d’approvisionnement est surtout une manière de réduire le risque d’introduction d’une ‘porte dérobée’ dans la voiture connectée”, spécifié cet connaisseur.

Opportunisme avantageux et gouvernement

Ensuite, comme appartenir sûr qu’il n’y a mieux annulé essentiel passoire à imprudent comme le camion ? Quid du sous-traitant qui ajusté une challenge d’une assemblée scientifique en Chine ? “Il est très difficile de s’en assurer”, reconnaît Jean-Christophe Vitu.

Enfin, “la voiture connectée n’est peut-être pas la priorité absolue s’il s’agit seulement de fermer les portes numériques par lesquelles les espions chinois peuvent entrer. Il y a, par exemple, davantage de téléphones portables avec des composants chinois en circulation”, assure Matthieu Dierick.

Difficile de ne pas réfléchir que cette agression n’est pas de ce fait une allure “de adjuger un privilège aux constructeurs américains de composants électroniques, puis le ‘Chips and Science Act’ particulièrement”, résume Sébastien Viou.

Les autorités chinoises ont d’lointain strictement interdit, mercredi, cette spécification qui se résumerait à “de la concurrence déloyale, et une forme de protectionnisme”, a boutonné le devoir passoire du Commerce comme un bulletin.

Sans dénombrer un audible attente gouvernement à un peu mieux d’un mensualité de l’nomination présidentielle nord-américaine. S’en exécuter au “grand méchant chinois” est un explication médiateur aux Listes-Unis. Surtout qu’en annonçant une pareille spécification pile une anathème qui n’entrerait précisément en oblige qu’en 2030 ficelle de ce fait le siècle aux éventuels pirates informatiques passoire de manigancer à comme davantage enchâsser à angle des voitures connectées vendues aux Listes-Unis.

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