Viols de Mazan : des vidéos projetées au cas par cas, sinon éprouvé ni journalistes

Le monarque de la cavalcade incendiaire d’Avignon a décidé, vendredi, que la développement des photos et vidéos mettant en précision les accusés du accusation des viols de Mazan se ferait au cas par cas, “dans le but unique de la manifestation de la vérité”, et sinon éprouvé ni journalistes.

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La développement de photos et de vidéos mettant en précision les accusés du accusation des viols de Mazan se fera “à la demande d’une ou plusieurs parties” et en l’distraction du éprouvé et de la tassé, a décidé, vendredi 20 septembre, le monarque de la cavalcade.

“Les diffusions ne seront pas systématiques. S’il doit être envisagé la diffusion d’une ou plusieurs vidéos, cela se fera à la demande d’une ou plusieurs parties, dans le but unique de la manifestation de la vérité”, a annoncé le défenseur, Roger Arata, qui mené le accusation qui s’est accueillant le 2 septembre front la cavalcade incendiaire de Vaucluse à Avignon et qui doit traînailler jusqu’en décembre.

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“Considérant que ces images sont indécentes et choquantes, cela se fera en présence des seules parties au procès et de la cour”, a complémentaire Roger Arata, excluant en résultante la existence du éprouvé et des journalistes.

Au destinée de la développement à l’lectorat de photos et vidéos, sinon éprouvé exclusivement en existence de la tassé, marquant Dominique Pelicot, le constitutif devancé, et Jacques C., l’un de ses 50 coaccusés, commercer des comportement reproducteurs sur l’sirène du chef, Gisèle Pelicot, tangiblement déséquilibrée, l’convenu universel avait demandé vendredi que la développement des images bien sévère.

“Sans ces éléments de preuve, il n’y aurait pas ce procès”

“Sans ces éléments de preuve, il n’y aurait pas ce procès”, a d’dehors mobilisé le plénipotentiaire du service éprouvé, Jean-François Mayer, opportunément des milliers de photos et vidéos enregistrées et soigneusement archivées par Dominique Pelicot et qui ont suffisamment contribué au besogne des enquêteurs.

“Madame Pelicot ne se souvient de rien. Et quand bien même elle se souviendrait de certaines choses, sa parole aurait été très largement discutée et contestée. Je souhaiterais donc que, pour l’ensemble des accusés, ces images soient regardées par votre cour, en tout cas les plus représentatives”.

Les parties civiles “souscrivent totalement” à cette sollicité, a illustré l’un de à elles avocats, Stéphane Babonneau. Le causerie de Dominique Pelicot, Me Béatrice Zavarro, a comme marqué son autorisation.

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Mais une demi-douzaine d’avocats des hétéroclites accusés s’y sont inflexiblement opposés. “La demande de l’avocat général n’est pas pour votre cour, elle est pour ceux qui, au-dehors, cherchent à s’abreuver du sang qui découle de cette justice”, a spécialement tonné Paul-Roger Gontard, convenu d’un des entités jugés à Avignon, soulignant qu’il incarnait conciliable “de faire autrement grâce aux descriptifs des vidéos faites par les enquêteurs”.

“Il faut savoir de quelle justice on rêve au XXIe siècle. Pas de celle qui se passe sur les réseaux sociaux, pas de celle qui a pour objet de fouetter le sang, au risque d’embrumer les esprits”, a abondé son copain Olivier Lantelme, qui défend un méconnaissable co-accusé.

Avec AFP

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