“Affronter Toulon est pour moi un crève-cœur” : Laporte inquiet de ses années au RCT antérieurement d’acheminer à Mayol pile le MHR

Le dirigeant du rugby du MHR, Bernard Laporte, espère agir un égratignure à Toulon, tel quel qu’il l’a clair ce jeudi à la Foire expo.

On continue de diviser projectile à la Foire expo. À l’instar du MHSC, évoqué par le directeur Laurent Nicollin, en entrevue mercredi sur le emplacement de Midi Libre, le MHR, qui ne va pas zélé non mieux en concours (11e du Top 14), a tenté récemment de libérer une dicton constructrice par la représentant de son dirigeant du rugby, Bernard Laporte. Ce coup-ci, pas de 50e célébration afin agir détour (le night-club fêtera ses 40 ans en 2026) uniquement un Bernie causant et cash, même à son encroûtement.

À un duo de jours d’acheminer trembler Toulon, pile qui il fut sacré triple gymnaste d’Europe (2013, 2014, 2015), Laporte est quelque coup enregistré par la neurasthénie. “Affronter Toulon est pour moi un crève-cœur, dans une région où le rugby est une religion. Je communique encore avec les anciens joueurs, certains m’ont souvent dit que j’étais le meilleur entraîneur du monde. Je leur répondais que c’était surtout eux les meilleurs joueurs du monde. Toulon, ce sont des rires et beaucoup d’émotions.”

La discipline

On en souhaite beaucoup au MHR chahut parfois à Mayol. Le dirigeant ose absorber en un probatoire bravoure : “Il faut jouer tous les matches à fond. Je trouve que l’équipe s’est bien préparée, elle a bien réagi après le match contre Vannes (victoire 26-24). Il faut y aller avec beaucoup de conviction, parce qu’on s’est déplacé trois fois et on n’a gagné qu’une fois (7-26 à Perpignan). Il y a des points à aller chercher.” Avec un bébé prérogative : l’mondial britannique Billy Vunipola portera le crêpe de conducteur à Toulon.

Et de se tramer écarté. “Il faut construire, mais malheureusement, le temps est compté. On est dans un championnat très relevé où ça bataille jusqu’à la fin. À Toulon, il faudra être plus disciplinés.” Le réel “pas de fautes, pas de fautes !” hurlé un croisée par “Bernie le dingue” à la avant des Bleus pourrait affairé remplir le penderie montpelliérain ce vacance. S’il y a perfection au bornage…

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