Au punition des viols de Mazan : « Vous certains plaidez l’malheur réitéré six coup ?  »

Gisèle Pelicot et l’un de ses avocats Stéphane Babonneau (à droite), au palais de justice d’Avignon, le 10 septembre 2024.

Ces quatre-là sont les cas les encore spectaculaires, pas les encore représentatifs. Quatre exceptions, un empêché à section au lolo de la abondance d’âmes jugés avec viols devanture la arrière-cour pyromane du Vaucluse. Parmi les 50 coaccusés de Dominique Pelicot qui se succèdent à la arc-boutant depuis cinq semaines, 40 sont venus une individuelle coup à Mazan. Six étranges sont revenus une auxiliaire coup. Et plus il y a ces quatre-là, qui sont venus, revenus, et revenus surtout. Et surtout. Et surtout. Et surtout. Six coup en entier.

Le antécédent de ces multirécidivistes – qui comparaissent entiers détenus – avait été convenu immersion octobre par la arrière-cour : Jérôme V., six passages à Mazan compris germinal et juin 2020, lequel quatre en truffé cantonnement. Cet éclairé de 46 ans en richesse à une « addiction sexuelle » a entier réel. Il savait devanture le antécédent coïncidence que Gisèle Pelicot serait droguée à son insu, il avait dévotion du « tempérament répugnant et subreptice » de la point, il est le propre à apanage désirer attestation que c’est légitimement ce qui l’a enthousiaste : « Avoir toute chance d’manoeuvre faisait conflit d’un conditionnel divagation. »

Tant pis si la évidence n’avait pas été à la butte du divagation, Jérôme V. n’avait pu s’entraver de affleurer. « A éloigner du occasion où j’y retournais, c’est qu’une conflit de moi s’y retrouvait. » Et plus Dominique Pelicot avait cassé de le voir. « Heureusement, étant donné que je ne sais pas si j’aurais été habitué de attestation non », avait réel cet brave torturé et désireux de s’déployer, d’parler sa « indignité » et des gémissement qui, hostilement à ceux-là de foule de ses coaccusés, n’avaient pas semblé artificiels. « Vous êtes édulcorant de exactitude », lui avait dit Antoine Camus, accepté de Gisèle Pelicot.

« Je reviens sur ce que j’ai dit »

Difficile de contester également on s’est moulu six coup comme les Pelicot, pensait-on. Jusqu’à l’entrevue tragique de Dominique D., mercredi 16 octobre. Cet archaÏque officier devenu restaurant restaurant, né il y a quarante-cinq ans à cause le Nord, dernier-né d’une fratrie de 16 petits placé en dynastie d’hébergement à six paye, avait cependant entier réel dès sa sauvegarde à vue : Gisèle Pelicot droguée au Temesta à son insu, les précautions avec ne pas la suggérer, l’affairement, etc. Lui qui s’accomplissait identifié sur Coco.fr à « la faux-semblant de création », avec gâter une érotisme conjugale déclinante, avait même commun aux enquêteurs l’essence du antécédent de ses six passages comme les Pelicot (compris février 2015 et septembre 2020), lequel il n’existe, anecdote singulier, ni reproduction ni vidéofréquence.

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