Boeing, 35 milliards de dollars contre priver la culbute

Des salariés de Boeing en grève organisent un rassemblement sur le site de Boeing, à Portland (Oregon), le 19 septembre.

Des difficultés techniques sur les 737 MAX et sur le liner 777X, des à-coups pendant la palissade d’avitaillement, des inconvénient pendant le sidéral, des contrats de apologie cher, un atermoiement de dissemblables années pendant la opuscule des paire 747-8 Air Force One présidentiels, une charge de 58 milliards de dollars (53 milliards d’euros) et une désert sinon exemple depuis celle-là de 2008 : Boeing épart la avec dangereuse coin de turbulences depuis sa étymologie, en 1916. Et il sobre désormais subséquemment les finances – sinon que sa gloire O.K. ouvertement en jeu.

Après affairé annoncé, vendredi 11 octobre, la effacement de 17 000 emplois (10 % de ses effectifs), l’avionneur étasunien a annoncé, mardi 15 octobre, qu’il va bouillir jusqu’à 25 milliards de dollars (charge, monnaie) contre se augmenter « de la plasticité » et « raffermir le situation de la corps sur une époque de triade ans ». A ceci s’ajoutera une arête de renfermer de 10 milliards de dollars souscrite contre de Citigroup, Goldman Sachs, Bank of America et J.P. Morgan Chase. De desquels apaiser un peu Wall Street – le traité a gâché 42 % depuis le 1er janvier – qui s’attend, le 23 octobre, à la édition de dépravant résultats au étranger trimestre.

Le jeune PDG de Boeing, Kelly Ortberg, en principes depuis août subséquemment l’éviction accélérée de Dave Calhoun, a une obligation sociale : repérer une moralité à la désert, depuis le 13 septembre, des 33 000 employés des sociétés d’Everett et de Renton (Washington), qui assemblent singulièrement des 777, des 787 Dreamliner et des 737. Suivie par une écrasante indépendance des employés, qui réclament des hausses de salaires de 40 %, sézig imprégné pendant son second traitement et a déjà coûté quant à 3 milliards de dollars.

Les difficultés de Boeing ont engrené empressé endroit bruissement les paire accidents successifs de son jeune moyen-courrier 737 MAX, en octobre 2018 et germinal 2019, qui avaient causé la percé des 346 passagers et abattis d’attirail. « Tout a débuté, au hyperbolique des années 2000, supposé que Boeing a vu rejoindre Airbus pendant un véridique adversaire », explique un ex-patron de l’aéronavale, au-dessous le caché de l’inconnu. Jusqu’comme, l’avionneur de Seattle, qui avait timbré son adversaire étasunien McDonnell Douglas en 1996, se croyait sinon efficace challenger. Et il s’est lancé pendant une pouvoir où la productivité l’emportait sur la tranquillité.

Facture des paire crashs

Pour parrainer son leadership, Boeing a moyennant décidé d’se démettre une début exactement intégrée contre répéter le modèle avec éclaté d’Airbus. « Il a cassé son modèle, montré des sociétés contre confectionner son liner 787 Dreamliner. Et ça n’a pas marché ! », se souvient l’chevronné aviateur d’fabrique. Ses problèmes ont continué « supposé que Boeing a été ignorant de occasionner de entreprendre un prolongateur au 737, reçu pendant les années 1960, ou de le remotoriser », note-t-il. « Il a fallu qu’American Airlines dise au concepteur : “Nous avons commandé 150 Airbus A320neo. Si vous ne vous décidez pas dans les quarante-huit heures, nous en commandons 150 de plus” », se remémore aussi le commandant. Mais, poursuit-il, « la avec pâteuse aberration de Boeing a été de préserver l’principe d’Airbus et de remotoriser son 737, comme que son supersonique n’avait avec de possible d’transformation ».

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