Le tracé de la 112e tirage de la surtout prolixe excursion sprinter du monde a été désertique ce mardi 29 octobre, depuis le résidence des Congrès à Paris.
La 112e tirage du Tour de France, lesquels le itinéraire a été présenté ce mardi 29 octobre à Paris, se déroulera parfaitement sur le lieu tricolore comme la gagnante jour en cinq ans en 2025 verso le Mont Ventoux, le col de la Loze et Superbagnères en acteur.
Un défrichement le 5 juillet de Lille, paire contre-la-montre lesquels un en côte, sept arrivées au discussion et une résultat sur les Champs Elysées alors, possiblement une dernière règne rallongée dans lequel Paris : voici les importants visage d’un tracé qui renoue verso une efficace orthodoxie alors trio départs consécutifs à l’autre.
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“Il n’y a pas un millimètre en dehors des frontières. Certains vont dire : ‘100 % français ? Tu m’étonnes, ça devrait être tout le temps comme ça. Le père Prudhomme, c’est l’Européen, il veut tout le temps partir de l’étranger’. Mais je revendique ces départs de l’étranger qui permettent de faire rayonner le Tour et la France”, souligne le chef du Tour, Christian Prudhomme.
On savait déjà que le Tour allait s’envoler de Lille et qu’il allait terminer sur les Champs-Élysées, de accroissement au planning alors une “escapade magnifique” (dixit Prudhomme) à Nice en 2024, Jeux Olympiques obligent. Il se pourrait que la dernière règne s’inspire honnêtement de la monstrueux excursion en file des JO cet été dans lequel les rues de Paris comme jauger un traversée frais, en surtout des traditionnels tours des Champs-Élysées, verso possiblement une chevauchée sur la talus Montmartre.
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“On a vu la force du cyclisme sur route. C’était merveilleusement et formidablement populaire. Les Jeux olympiques ont permis de faire des choses qui semblaient impossibles. Si ça pouvait permettre de faire des choses avec une autre épreuve magnifique, mais annuelle, je n’en serais pas marri”, explique le chef du Tour à l’AFP.
“Des patates partout”
Les discussions imprégné les organisateurs du Tour, la hôtel de ville de Paris et la commune de civilisé sont mais ardues et l’détente n’est pas forcément de vêtement. Pour le résidu, la géographie de la France obligatoire au Tour un itinéraire qui semble se partager en paire parties : aplati comme arriver, tourmenté comme terminer. Mais c’est “un faux-semblant”, assure Prudhomme.
“La première étape semble promise aux sprinters qui auront l’occasion pour la première fois en cinq ans de prendre le maillot jaune. Mais après on a mis des patates partout. Thierry (Gouvenou, le traceur du Tour) n’a pas laissé une côte de côté entre Lille et la Bretagne.” “La deuxième étape se termine à Boulogne-sur-Mer avec trois côtes dans les dix derniers kilomètres. Le quatrième jour, tu as quatre côtes dans les trente derniers kilomètres. Ensuite, sur l’étape de Vire, on a 3 500 mètres de dénivelé”, détaille le chef du Tour.
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Un contre-la-montre exceptionnellement aplati sur 33 km à Caen servira de chef déité de quiétude. Deux jours surtout tard, l’survenance à Mûr-de-Bretagne sera un divers période actif, face à que le Tour ne baignade inspiration le Puy-de-Voûte et les Pyrénées. Celles-ci s’annoncent difficiles verso une survenance au discussion à Hautacam, la veillée d’un chrono en côte de 11 km imprégné Loudenvielle et l’héliport de Peyragudes.
Juste face à, vendredi 11 juillet (16e règne), le association devra charmer une stationné de 154 km alentour de Toulouse. “La boucle dessinée dans la région toulousaine au sens large présente de nombreuses aspérités qui laissent plusieurs scénarios ouverts, en particulier dans les cinquante derniers kilomètres” détaille Christian Prudhomme. “Mais, quoi qu’il arrive, la côte de Pech David et ses passages à 20 % de pente devrait jouer un rôle dans le final. Au sommet, il ne restera que huit kilomètres jusqu’à l’arrivée, seuls les sprinteurs-puncheurs conserveront leurs chances de participer à l’explication.”
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Le 19 juillet (14e règne), les choses se corsent aussi verso une gagnante survenance à Superbagnères depuis 1989, précédée des ascensions du Tourmalet, de l’Aspin et de Peyresourde comme un persistance éclatant qui fera forcément le tri.
Retour au Ventoux
Le Tour va subséquemment se braquer inspiration les Alpes, en ahurissant d’apparence au Mont Ventoux, un de ses grands mythes. Ce sera la gagnante survenance au discussion du démesuré de Provence depuis 2013 vu que l’règne de 2016 avait été amputée dans du flatuosité. L’étape-reine est programmée comme le jeudi 24 juillet verso les ascensions du col du Glandon, de la Madeleine et l’survenance au discussion du abominable col de la Loze, frais usité comme un dénivelé pantagruélique de 5.500 mètres. Une dépêche récit attend les coureurs le avenir imprégné Albertville et La Plagne où le gagnante de l’tirage 2025 devrait entité habituel vu que la date de chahut inspiration Pontarlier, promise aux baroudeurs, ne devrait pas procéder brouiller le ordre caporal.
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“Les étapes de montagne sont vraiment très, très difficiles et ça va compenser quelque part les jours de plaine. Mais il ne faudra pas avoir de jour sans dans la plaine parce que ça pourrait se payer cash”, résume Thierry Gouvenou. Quant à ésotérisme à qui le itinéraire convient le surtout, l’ordonnateur du itinéraire est fondé : “On n’a jamais vu de coureur moyen gagner le Tour de France. En ce moment Pogacar est au-dessus du lot. Sur n’importe quel terrain il s’en sortirait. Et donc il s’en sortira l’année prochaine. Mais il y a bon espoir de voir Vingegaard revenir à son meilleur niveau aussi”.
Les étapes
5 juillet : 1re règne Lille – Lille, 185 km
6 juillet : 2e règne Lauwin-Planque – Boulogne-sur-Mer, 212 km
7 juillet : 3e règne Valenciennes – Dunkerque, 172 km
8 juillet : 4e règne Amiens – Rouen, 173 km
9 juillet : 5e règne Caen – Caen (contre-la-montre autonome), 33 km
10 juillet : 6e règne Bayeux – Vire Normandie, 201 km
11 juillet : 7e règne Saint-Malo – Mûr-de-Bretagne, 194 km
12 juillet : 8e règne Saint-Méen-le-Grand – Laval, 174 km
13 juillet : 9e règne Chinon – Châteauroux, 170 km
14 juillet : 10e règne Ennezat – Le Monté Doré, 163 km
15 juillet : date de relâchement à Toulouse
16 juillet : 11e règne Toulouse – Toulouse, 154 km
17 juillet : 12e règne Auch – Hautacam, 181 km
18 juillet : 13e règne Loudenvielle – Peyragudes (contre-la-montre autonome), 11 km
19 juillet : 14e règne Pau – Luchon Superbagnères, 183 km
20 juillet : 15e règne Muret – Carcassonne, 169 km
21 juillet : date de relâchement à Montpellier
22 juillet : 16e règne Montpellier – Mont Ventoux, 172 km
23 juillet : 17e règne Bollène – Valence, 161 km
24 juillet : 18e règne Vif – Courchevel Col de la Loze, 171 km
25 juillet : 19e règne Albertville – La Plagne, 130 km
26 juillet : 20e règne Nantua – Pontarlier, 185 km
27 juillet : 21e règne Mantes-la-Ville – Paris Champs-Élysées, 120 km
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