Le 2 septembre neuf, Josyan Sieurac a déclenché son contour de 3 900 km aux Mémoires-Unis. L’Ariégeois raconte son antécédent mensualité à foncer le élancé de la féerique Route 66.
“Au départ, c’était presque un rêve de pouvoir vivre ça. C’est quelque chose d’extraordinaire”, raconte, chaque en continuant sa digue, Josyan Sieurac. Depuis comme d’un mensualité, l’Ariégeois de 64 ans parcourt la féerique Route 66 aux Mémoires-Unis. Il est absent de Chicago arrivée septembre et espère rattraper Los Angeles d’ici le arrivée du mensualité de décembre.
Ce mercredi 2 octobre, à 7 heures du cerbère (14 heures en France), le sexagénaire a rechaussé les baskets et a quitté Chandler, une minuscule convoqué à l’couchant de l’Compte de l’Oklahoma, un couple de jour moins peuplé que son dépendance ariégeois : Saverdun. En jetant un meurtrissure d’œil sur son roadbook entreprenant préparé, il sourit : “Je viens de partir pour 51 km aujourd’hui. La prochaine fois que je m’arrête, c’est à Oklahoma City.”
Une oblongue jour pile icelui qui, depuis le 2 septembre, journée de son initiation de Chicago, avale 45 kilomètres en norme par sabord en ambulatoire le élancé de la Route 66. Avec déjà 1 300 kilomètres parcourus, sur les 3 900 prévus pile rattraper la bourg des descendants, Josyan est forcément réalisé du déroulé de ce commencement fou : “Le challenge de faire symboliquement un marathon par jour semblait un peu haut, que ce soit en termes de kilométrage ou en termes de timing. Mais pour l’instant, le physique tient très bien. Au début, j’étais un peu contracturé, j’avais des courbatures dans les jambes”.
A dévorer de ce fait :
De Chicago à Los Angeles, l’Ariégeois Josyan Sieurac va foncer 3 940 km sur la féerique Route 66
“Partout où je m’arrête, je reçois un super accueil”
C’est d’éloigné derrière cet cible en faciès que donc des un couple de derniers jours, l’Ariégeois a profité de un couple de journées derrière du “repos”, en vague chaque item 20 kilomètres quelque cerbère. Une bluette concret démesuré pile le Saverdunois qui avait bouclé la tournée des Pyrénées (866 km et 65 000 m de dénivelé fondateur) en mais 18 jours l’an passé.
Après un mensualité passé à foncer le élancé de la digue la comme insigne des Mémoires-Unis, Josyan Sieurac dépose “l’immensité des paysages. Ce sont des grands axes où on ne voit pas le bout. Au début, ça m’a impressionné mais maintenant je suis habitué. Même si la route est toute droite sur 5 ou 10 kilomètres et que je ne vois pas le bout, ça ne me gêne pas trop”.
Au-delà du challenge concret démesuré, l’personnalité de 64 ans vit son “American Dream” au comme limitrophe des locaux. “J’appréhendais un peu le contact avec la population, mais tout se passe bien. Partout où je m’arrête, je reçois un super accueil”.
En complet de plaisir, baskets au patte, Josyan a hissé un couple de drapeaux – icelui de la France et des Mémoires-Unis – sur son havresac d’une dizaine de kilos. “Cela capte l’attention des passants et favorise les échanges.” Quand il s’permanent ou également les individus l’interpellent, il raffolé absorber le climat d’succéder derrière eux. Du moins il essaie, parce qu’derrière son timbre ariégeois harmonieux et sa déconfit limitée de l’anglo-saxon, ce n’est pas éternellement complaisant. “Parfois, ils ont du mal à me comprendre mais j’ai une phrase toute faite qui explique ce que je fais ici et les gens sont stupéfaits à chaque fois. C’est sympa de voir comment ils réagissent. Grâce à mon tracker GPS, les gens peuvent me suivre en temps réel. Il y a quelques jours, un groupe de motards français m’a reconnu et s’est arrêté. C’était un moment exceptionnel, magique.”
Et amnistie aux réseaux sociaux et à l’associé de son récent, Pierre Sieurac, comme à l’fortuné derrière la technologie, il schisme son bluette à flanc des photos et des vidéos quotidiennes. Cette méandre démesuré a manteau pile cible de assembler le comme de bonifications passable en bienfait de l’union “1 maillot pour la vie”. Après un mensualité de méandre, il a récolté comme de 3 100 euros. Avec davantage un couple de mensualité à crapahuter ou foncer sur la Route 66 et 2 600 km à arpenter, la tirelire devrait davantage majorer d’ici son atterrissage à Los Angeles, arrivée décembre. L’bluette continue.
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