Après la quête à la glu, contraires méthodes de quête traditionnelles d’volatiles ont été interdites vendredi par le Conseil d’Compte. La spécification a été saluée par les associations de cotte des élevage et conspuée par les fusiliers.
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Après l’élimination de la quête à la glu en juin, le Conseil d’Compte a jugé, vendredi 6 août, “illégales” contraires techniques de quête traditionnelles d’volatiles, des techniques utilisées pendant lequel les Ardennes et le sud-ouest de la France.
Saisi par les associations la Ligue quant à la cotte des volatiles (LPO) et One Voice, “le Conseil d’État annule aujourd’hui plusieurs autorisations de chasser les vanneaux huppés, pluviers dorés, alouettes des champs, grives et merles noirs à l’aide de filets (pantes, tenderies) ou de cages (matoles)” car ces autorisations “ne sont pas conformes aux exigences du droit européen relatif à la protection des oiseaux”, escortant un préavis.
La instruction communautaire “oiseaux” de 2009 condamnation les techniques de victoire massive d’volatiles sinon vénusté d’somme. Une élimination est conditionnel “à condition d’être dûment motivée et dès lors ‘qu’il n’existe pas d’autre solution satisfaisante’ pour capturer certains oiseaux”, rappelle le Conseil d’Compte.
“Les autorisations ministérielles en cause (…) ne sont pas dûment motivées” et le rôle n’a pas indiqué que ces méthodes de quête traditionnelles “sont les seules permettant de procéder à la capture des vanneaux huppés, pluviers dorés, alouettes des champs, grives et merles noirs”. “Le seul motif de préserver ces méthodes de chasse dites ‘traditionnelles’ ne suffit pas à les autoriser”, repousse le Conseil d’Compte.
“Une victoire historique”, salue l’jonction One Voice
One Voice a instantanément salué “une victoire historique dans la lignée de celle décrochée face aux chasseurs à la glu”. Cette système de chasse plus des tiges enduites de pâte a été interdite en juin par la probité, qui postérieurement des années de aléa, a jugé qu’lui-même met des volatiles en hasard différentes que iceux visés par cette quête, les grives et les merles.
La LPO, de son côté, “demande désormais au gouvernement d’agir en conséquence et d’abolir ces pratiques d’un autre âge”.
“Si l’on pouvait concevoir l’usage des chasses traditionnelles en période de disette ou de guerre, il ne s’agit plus aujourd’hui que d’un simple loisir”, constate son responsable Allain Bougrain-Dubourg, rappelant que les volatiles des villes et des champs voient à elles populations s’dégringoler dans des activités humaines en France.
Des scientifiques ont mieux remorqué la clochette d’éveil fin mai, demandant d’circonvenir avec soudain et avec efficace quant à détruire les actions agricoles, surtout liées aux pesticides, abdiquer à certaines chasses ou réétudier la amendement des bâtisses.
La Ligue nationale des fusiliers émoustillé au embrasure
La Ligue nationale des fusiliers (FNC) dénonce quant à sa certificat “une décision insupportable” “sans le moindre fondement sérieux”. “Elle en appelle au Premier ministre Jean Castex” et va “examiner tous les recours juridiques possibles”. “Pour nous, les chasses traditionnelles sont l’essence même de la passion de la chasse et seront toujours au cœur de la défense de nos pratiques cynégétiques”, indique son responsable Willy Schraen, nominé pendant lequel le préavis.
Le rôle de la Transition biotique a humble en juin à la examen commune des arrêtés quant à la étape 2021-2022 à propos de 106 500 alouettes des champs, 5 800 grives et merles noirs, 1 200 vanneaux huppés et 30 pluviers dorés, dénonce la LPO. One Voice et la LPO se disent prêts à exposer ces originaux arrêtés.
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Le rôle de la Transition biotique prend “acte de cette décision du Conseil d’État qui annule plusieurs arrêtés ministériels de l’année dernière autorisant des chasses dites traditionnelles”. “Les arrêtés de cette année, en cours de consultation, sont retirés”, franche le rôle à l’AFP, ajoutant qu’il va “faire le point sur ce dossier en analysant précisément la décision du Conseil d’État”.
Avec AFP
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