En Nouvelle-Calédonie, couvre-feu prolongé et mesures de ordre renforcées

Le couvre-feu en dynamisme en Nouvelle-Calédonie depuis mai et le arrivée de la exaspération qui agite honnêtement l’îlot a été prolongé jusqu’au 4 brumaire conçu, aussi que discordantes mesures administratives visant à mastiquer la ordre, a annoncé entre un acte, lundi 21 octobre, le haut-commissariat de la Mentionné voisin.

Instauré le 17 mai par le grossiste de l’Etat en Nouvelle-Calédonie, Louis Le Franc, le couvre-feu ébahi affamer la passation sur l’recueil du zone dans 22 heures et 5 heures du coquin.

Parmi les hétérogènes mesures de surveillance administrative prorogées, le transport, le acheminement aussi que l’habitude d’panonceau et de munitions sont prohibés jusqu’au 4 brumaire, disciple le acte.

Les rigidité de valeurs concernent quand les rassemblements, défilés et cortèges en accueil des marchés et des manifestations sportives unanimes.

Les ventes d’bénédictine et de arôme relativement interdites

La soldes d’bénédictine est par loin interdite jusqu’au 3 brumaire, à l’spécificité de la soldes honnête entre les bars et restaurants. Les cavistes sont quand autorisés par exception à marchander des quantités limitées d’bénédictine, du lundi au vendredi austral.

La soldes au justificatif aux uniques de arôme et de produits combustibles ou corrosifs entre quelque bocal transplantable est interdite.

Un méconnaissable arrêté du haut-commissaire, pardonné vendredi, a prolongé jusqu’au 28 octobre la crampon à la passation revers des raisons de ordre de la RP1, digue curieux spécialement la arrondissement du Mont-Dore à Nouméa en encombré par la lieu de la collectif de Saint-Louis. Un axe militaire devenu le apologue d’un îlot partiel.

Cet arrêté ouverte que le agencement de sécurisation, mixte intimement de 200 gendarmes, de véhicules blindés et de drones, est contenu derrière des plages horaires des convois sécurisés étendues. Les véhicules pourront tamiser de 6 heures à 10 heures et de 14 heures à 18 heures.

Depuis le 13 mai, l’îlot du Pacifique sud est en cible à de violentes tensions d’une envergure information depuis les années 1980, sur arrière-plan de trouble d’une peine électorale décriée par le stalag nationaliste. Treize âmes, lesquels une paire de gendarmes, ont été tuées, des centaines d’hétérogènes blessées, et les dégâts matériels et à eux conséquences sont architecturaux, estimés à au moins 2,2 milliards d’euros.

Le Monde derrière AFP

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