Gardien à baraqué virtuel, Simon Ngapandouetnbu a atteint le association croco afin bref agioter en pro et réparer, son but présentant de s’exiger un baie à Marseille, qui l’a prêté afin un an.
Tout le monde l’traite Simon ou capital surtout, puis maints de ses partenaires, Brady, son allié petit nom. Pas gentilhomme monde ne se intrépide à exciper son nom de famille : Ngapandouetnbu. Un nom à complément pas leçon, même au Cameroun. Ils sont peu à le cheminer, assure-t-il. Il y a son bâtisseur, ses quatre sœurs et son maître aussi que nombreux cousins.
“Il ne se transmet pas de génération en génération”, raconte le bleu portier de Nîmes Olympique. Près de Foumban où il est né, entre la préfecture de l’ponant du Cameroun, il y a un commune qui s’traite Douetnbu et entre le patois pied-à-terre, Ngapandouetnbu signifie « Ne vous-même occupez pas des problèmes de Douetnbu ». C’est dit.
#football Simon, Dias et Cozzella, les triade gardiens de @nimesolympique, à l’imitation. Déjà 3 clean sheet en 5 amusements afin le concierge prêté par l’@OM_Officiel. pic.twitter.com/spogTVgYqQ
— Midi Libre Sports (@MidiLibreSports) September 30, 2024
Steve Mandanda, son modèle
Petit, N. Simon, puis épistolaire sur son monokini, ne risque pas au foot. “Cela ne m’intéressait pas.” Même simultanément il arrive pour ses parents à Marseille où vivent maints de ses oncles et de ses tantes, il prime éloigné des choses du dirigeable ballonné. Il a pendant six ans. Ce n’est que nombreux salaire puis tard qu’il s’y met, poussé par ses copains de l’séminaire. Il évolue d’alentours en parti : “Je n’étais pas bon devant.” Il descend d’un estomac seulement entre l’entrejeu, “il fallait trop courir, c’était fatigant”. Le revoici aussi portier : “J’ai tout de suite kiffé de ouf !”
Il s’identifie méchamment soudain à Steve Mandanda, forcément. “Lui, c’est du lourd ! Je suis vraiment fan. C’est un modèle pour moi. Jeune, j’ai empilé ses maillots !” Quelques années puis tard, il se retrouvera à s’convier pour “Il Fenomeno” qui deviendra “un grand frère”. Car N. Simon a des qualités, qui ont soudain été repérées par l’OM qu’il honnête à 11 ans. Son virtuel est tel que Marseille lui a accident sanctionner son antérieur assemblage pro à 16 ans, en octobre 2019. Contrat prolongé depuis à paire reprises – en mai 2022 et avril 2024 – et qui concis désormais jusqu’en juin 2026.
À Marseille, il est jusque-là infiniment resté sur le tréteau
“Le club a beaucoup investi sur moi, il ne le fait pas pour tout le monde”, relève le Franco-Camerounais de 21 ans (1,88 m, 80 kg), qui a un singulier loyal : « Travailler afin manoeuvrer suppléant à l’OM. » Il le sait, il atmosphère goût du “facteur chance”, seulement il veut le deviner : “Mon heure viendra.”
C’est afin ceci qu’il a atteint Nîmes, en bienveillant. “Je suis venu ici en mission. À mon âge, j’ai besoin de jouer. C’est indispensable pour ma progression.”
Avec le association marseillais, ce baptiste qui essaie d’envoyer une coup par semaine au loge ne budget aucune avènement en meute bannière. Il s’est quelque élément appuyé une soixantaine de coup sur le tréteau, “dans toutes les compétitions possibles”, en Ligue 1, Coupe de France, Champions League, Europa League et Conference League.
Déjà triade clean sheet pour les Crocos
Ses matches, quarantaine au accompli, c’est pour l’meute approvisionnement phocéenne, en N2 et N3, qu’il les a disputés. Sa vernissage coup en pro, “c’est ce que je dirai à mes enfants”, c’est aussi pour les Crocos qu’il l’a effectuée, figure à Châteauroux (1-0) le 23 août frais. C’est là qu’il a acheté le antérieur de ses triade clean sheet en cinq sorties. “Je suis fou, sourit-il, mais comme on a une bonne défense, j’en vise vingt au total, ce qui assurerait vingt points minimum.”
Il adoré le cinémathèque et la connaissance
Celui qui dynamisme pour le foot en emploi au cinémathèque (il vient de repérer Golo et Ritchie au Kinepolis) et en lisant (il conseille Mamba Mentality de Kobe Bryant et Fondateur éblouissant, bâtisseur gênée de Robert T. Kiyosaki) se veut résolument aventurier, et il l’assure : “La montée, j’y crois !”
Il a simultanément même déjà interprété que la tâche ne sera pas accessible. Le National, qu’il découvre et qu’il apprend à mesurer en visionnant pas mal de trouves, “n’est pas un championnat comme les autres, analyse-t-il. C’est beaucoup de jeu direct, d’impact et de contacts. Il ne faut jamais lâcher. Cela va me permettre de gagner en maturité”.
Un portier comble, cinétique, pour de l’carrure
“Simon est un gardien complet. Il est très dynamique et va très vite au sol malgré sa taille, détaille Jérémy Struffaldi, entraîneur des portiers crocos. Il a de l’envergure, ce qui lui permet de prendre de la place dans les airs et dans sa surface car il ne reste pas sur sa ligne, où il est très bon.” L’une de ses forces, vue figure à Versailles, “c’est la qualité hors norme de ses relances à la main grâce à sa puissance et à sa bonne vision du jeu, poursuit Struffaldi. Dès qu’il récupère le ballon, il regarde le positionnement des joueurs pour vite déclencher une attaque rapide”.
Transigeant “investi et travailleur”, qui “ne pense pas qu’individuellement”, N. Simon doit réparer “dans sa gestion des temps forts et faibles et dans son jeu au pied”, ébauchoir Struffaldi, le ludique évoquant, lui, des efforts à commettre surtout entre la soin et la énoncé.
Nîmes “le bon choix”
En choisissant Nîmes de préférence que Martigues singulièrement, l’mondial camerounais (aucune répartition, triade récifs en Coupe du monde et un en Coupe d’Afrique des nations) est “sûr d’avoir fait le bon choix. Je savais où je mettais les pieds. On ne m’a pas dit : “Viens et après on verra.” Non, j’ai eu le coach au téléphone, il m’a expliqué son projet de jeu en m’y incluant dedans. Grâce à Nîmes, je vais pouvoir aller plus haut”.
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