La crédit d’étude médiateur alentour de la gouverne du football hexagonal a épuisé ses conclusions ce mercredi 30 octobre. Les sénateurs Michel Savin et Laurent Lafont ont essentiellement ciblé la tutelle, intégral en prônant des réformes drastiques.
Le Curie a épuisé ce mercredi 30 octobre son bénéfice sur la gouverne du football hexagonal. Un bénéfice de 130 pages pendant léser ils n’épargnent subsister : la Société, le emploi des Sports, beIN SPorts et son modèle Nasser Al-Khelaïfi, uniquement de la sorte et principalement la LFP et son chef, Vincent Labrune.
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Comme considérant, sa message a été fustigée par Michel Savin et Laurent Lafon, respectivement délateur et chef de la crédit. Au période de son scrutin, Vincent Labrune percevait 420 000 euros (par an). Après les négociations imprégné la LFP et le viatique d’siège CVC, son bénéfice a abordé 1,2 million d’euros. Hier, le chef de la Ligue a annoncé rétrécir ses revenus de 30 %.
Vers un apogée des salaires ?
Pas de comment combler Michel Savin, qui a clair :”Quand il annonce baisser de 30 %, c’est 30 % sur 1,2 million. La réalité, c’est qu’il est passé à 800.000 euros environ. Le salaire du président de la Ligue est le double de celui qu’il avait à son élection”. Avant que Laurent Lafon ne s’interroge :”Est-ce normal que le président de la LFP gagne deux fois plus que le président de la SNCF, de la RATP, d’EDF ?”
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Pour arranger à ces rémunérations astronomiques, les un duo de élus ont recommandé de dominer les salaires des dirigeants de la LFP à 450 000 euros par an. “Quand on voit que la Ligue est obligée de faire des économies, je pense que le premier signal à envoyer est que le président puisse faire un effort sur la rémunération” a précisé le délateur.
“Dysfonctionnements profonds”
“Football-business, stop ou encore ?” Voilà pardon les sénateurs Laurent Lafon (UDI) et Michel Savin (LR) ont atermoiement en corvée la gouvernance du foot hexagonal pendant ce bénéfice adopté à l’consentement au Curie, qui donnera possiblement carrefour à une devise de loi transpartisane à la renfoncement haute.
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“Des erreurs ont été commises au cours des dernières années dans la gestion du football professionnel français. Pire encore, aucun enseignement n’a été tiré des erreurs faites dans le passé. Résultat, elles continuent”, a lancé Laurent Lafon, se demandant “si cette persévérance dans l’erreur ne relevait pas en fait de dysfonctionnements plus profonds”.
Le deal puis CVC supplicié
La renfoncement haute du Parlement s’est identiquement interrogée sur les contours du location signé en 2022 imprégné la Ligue et le viatique d’siège CVC Capital Partners, qui a établi 1,5 milliard d’euros au football spécialiste hexagonal moyennant quasiment 13 % de ses recettes commerciales à vie.
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Pour esquiver les conflits d’intérêts et intensifier le vérification démocratique de ces contrats, la crédit préconise, pendant son bénéfice, d'”opérer une distinction nette entre les activités des ligues professionnelles et celles de leurs sociétés commerciales en séparant clairement la ligue de sa filiale”.
La crédit a identiquement représenté le inédit arrangement des corrects TV. Elle milite dans une “répartition plus équitable des ressources”. Enfin, elle-même a suggéré la fondement d’un “délit de piratage massif dans le domaine sportif”, pendant que les diffusions illégales pullulent sur IPTV et les bordereaux Telegram.
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