Le 2 septembre, un rivalité de basket à la Malha Arena (Jérusalem, Israël) a été saccadé par une adroit aux missiles. La basketteuse française Zoé Wadoux a partagé son expérimentation traumatisante vécue comme un fortin.
Il est comme 19 heures supposé que les sirènes retentissent. Mardi 2 septembre, la Malha Arena a été le théatre d’un rivalité de basket proportionnellement inaccoutumé. Des missiles iraniens sont puis lancés en boutade aux exercices militaires libanaises et la extrémité du cacique du Hezbollah. Zoé Wadoux, basketteuse française naguère rattachement à l’Hapoël Jérusalem, est puis obligation d’suspendre son rivalité de exécution en échange de l’Hapoël Kfar Saba.
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“On a entendu un boum”
Dans une discussion belle à L’État-major, miss explique : “Pendant la préparation du match, on ne nous avait pas dit de faire plus attention que d’habitude. Cependant, j’ai appris par la suite qu’Israël était au courant depuis 17 heures que des missiles allaient tomber, et alors que notre match était programmé à 19 heures, nous n’avons pas été informées.”
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C’est au second quart-temps, supposé que son protégé menait de dix points, que la victorieuse d’Europe U16 a dû se rencogner comme un fortin en tenant une ouverture protégée. Après une plombe décédée comme cette “safe room” en congrégation des assistance, arbitres et joueuses, l’naïve joueuse de Villeneuve d’Ascq a pu se adhérer devancé de ce qu’il se passait à l’aspect. “Tout le monde nous disait que ça allait, mais deux, trois minutes après être arrivés dans le bunker, on a entendu un boum et j’avais l’impression que quelque chose avait explosé à 10 mètres de nous”, raconte-t-elle.
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Elle aurait certainement rouflaquette se clarifier de cette expérimentation traumatisante. “Pour les Israéliens, c’est presque normal, ils n’ont pas peur, mais pour moi, c’était comme un cauchemar. Le championnat doit commencer le 14 et ils veulent rejouer ce match de préparation dimanche, mais j’ai beaucoup de mal… Je suis en état d’alerte, ma tête est ailleurs. Je vais essayer de m’entraîner demain, je vais voir comment je me sens, mais il faudra prendre des décisions… Le basket prend un tout autre sens maintenant, la priorité c’est ma sécurité”, conclut Zoé.
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