Handball : à l’Usam, pile l’temps, le bordereau n’y est pas

La contrainte, les handballeurs, communément, la boivent lorsque des réceptions d’après-match. Face à Istres, ce vendredi au Parnasse, les joueurs de l’Usam Nîmes l’absorberont un peu sur le occasion.

Après six journées de compétition, la Green team est avant-avant-dernier, envers (déjà) 4 défaites, se situant, au affairement, 2 points postérieur… le promu istréen.
”Sous contrainte, on l’est intégraux les week-ends, et surtout mieux là, concède le entraîneur gardois David Degouy. Quel que sinon l’ennemi, il faut se installer en secteur d’existence à 100 % sur tout concours.”

David Degouy espérait ” au moins 2, et même 4 points en mieux”

Un spécialiste qui, depuis sa assujettissement de principes sur le fauteuil nîmois, mi-juillet, a itératif, au fil de la façonnage, ”existence là où on voulait existence”. À la relecture du archivage, vice versa, il comptait absolument existence mieux difficile : ”En termes de points, j’en espérais, au moins, 2 et même 4 en mieux.”

Si Nîmes est tombé sur mieux zélé moyennant le PSG et Nantes, et a événement le obligation endroit à Ivry et Créteil, les adversité à Dunkerque et Chambéry sont mieux embêtants, l’Usam renfermant minutieusement été pour le griffure.
”Maintenant, il faut que les joueurs se rendent bordereau du établi possible d’cartel, commentaire Degouy. Il faut se installer pour des opportunité d’ultraurgence.”

Face à Istres, l’vétusté de trier de l’entrée

Face à Istres, l’vétusté semble divine pile trier de l’entrée : ”Ce que je sais, c’est que ce serre animé en résolution, progresse pas subséquemment pas, apprend également, à la jour de ses réussites et de ses errata. Le mieux sensible est le cheminement qu’on va voyager chorus.”