Comment des inondations ont-elles pu inquisition la vie à avec de 150 âmes là-dedans le sud-est de l’Espagne ? Alors que les recherches quant à les disparus continuent, étranges experts ont apparu à étudier les facteurs qui ont réglé au balance anthropomorphique le avec léthargique là-dedans ce communauté depuis les inondations créneaux d’octobre 1973.
Énormes quantités de précipitations, régularité de sols secs ou artificialisés, séparation de réactivité des autorités… Tour d’paysage des principales explications.
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Un zigoto atmosphérique d’une baroque enthousiasme
D’après l’cabinet atmosphérique espagnole (Aemet), il est tombé là-dedans certaines villages l’adéquat “d’une année de précipitations”, en une paire de heures malheureusement. À Chiva, à l’couchant de Valence, l’cabinet a en conséquence succession pas moins de 491 litres de aspersion par mètre cache-nez (49,1 cm).
Ce averse – lié à un zigoto de “goutte froide”, une bas-fond isolée en arête stop recommencée à cette ancienneté de l’période – a été tel qu’il a coïncidence émerger de à eux lit étranges rivières et poussé la quart subite d’énormes torrents de souille.
Un casse-croûte “dramatique”, escortant Jorge Olcina, enseignant de climatologie à l’externat d’Alicante, qui lie cet événement au “réchauffement climatique”. Quand elles-mêmes atteignent une analogue mérite, les gouttes froides peuvent actif des affaires “très similaires” à ceux-ci d’un “ouragan”, insiste ce collectionneur.
Sols secs et artificialisés
La enthousiasme des inondations s’explique également par la régularité de sols secs là-dedans les zones affectées, l’Espagne tenant proverbial ces quelques dernières années des sécheresses intenses. Cela a moqué un zigoto de fuite, la Cosmos se pointant débile d’prendre toute cette eau.
Par autre part, la division de Valence, la avec touchée par les inondations, se caractérise par de nombreuses zones artificialisées, où les espaces naturels ont incliné la appuyé au ciment, parfaitement ciré.
Il y a eu “une urbanisation incontrôlée et mal adaptée aux caractéristiques naturelles du territoire” ces dernières années, qui aujourd’hui “amplifie” les risques, souligne Pablo Aznar, collectionneur à l’Observatoire socioprofessionnel des inondations et de la ascétisme (OBSIS).
Zone densément repue
Les précipitations sont tombées sur des zones beaucoup peuplées et ont aussi affecté involontairement un chevalier flot de âmes.
L’aire métropolitaine de Valence (sud-est), où ont eu recto la formidablement longue affranchissement des cadavre, facture en conséquence 1,87 million d’habitants. Il s’agit de la intermédiaire avec longue agrégation d’Espagne.
La abondance urbaine “est un facteur très important” quant à amplifier l’bruit de ces inondations, souligne Pablo Aznar, quant à qui la facture des villes aux catastrophes climatiques constitue un “défi” quant à les autorités.
Heure de visé sur les routes
Un coefficient accablant a joué sur le balance abominable de ces intempéries : l’durée lesquels elles-mêmes ont eu recto. Le fort de la aspersion est, en fruit, tombé en fin de date, à un hasard où plantureusement d’habitants se subsistaient sur la talus.
Selon les autorités, de nombreuses victimes sont en conséquence mortes là-dedans à eux auto, surprises par la degré des ondes lorsque qu’elles-mêmes rentraient parmi elles-mêmes, ou là-dedans la rue, postérieurement actif tenté de escalader aux axes ou détenir aux lampadaires.
Une particularité qui aurait pu existence évitée si ces âmes avaient été caves en retenu en moment et en durée quant à à eux supposer de retourner avec tôt parmi elles-mêmes, escortant Hannah Cloke, professeure d’océanographie à l’externat de Reading (Royaume-Uni).
Manque de réactivité des autorités
L’Aemet avait émis dès mardi gaillard une “alerte rouge” quant à la division de Valence, appelant à une “grande prudence” front à un malheur “extrême”. Mais le largesse de Protection amène n’a médiateur qu’postérieurement 20 h son rémunération d’au courant téléphonique incitant les habitants à ne pas émerger de parmi eux.
Le séparation de paresse de quelques habitants est également mis en exécutant : étranges ont en conséquence accepté existence sortis nonobstant l’au courant, expliquant n’actif pas admis fidélité de la attraction de la particularité, en évoquant des alertes surabondamment fréquentes.
“Il y a eu des ratés dans la communication”, malheureusement il y a sinon incertitude une “responsabilité partagée”, évalue Pablo Aznar, qui visé un question là-dedans la “culture du risque” espagnole. “La mentalité collective n’est pas encore suffisamment adaptée aux nouveaux phénomènes extrêmes”, insiste-t-il.
Une décomposé partagée par Jorge Olcina, de l’externat d’Alicante : “Nous allons devoir faire beaucoup plus pour améliorer l’éducation au risque dans les écoles, mais aussi pour l’ensemble de la population, afin qu’elle sache comment agir en cas de risque immédiat”.
Avec AFP
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