“J’ai envie d’inspirer les autres comme les autres m’ont inspiré” : le Piscénois Adrien Donnat se javelot pour un traversée de 5 500 km à V.T.T. pile Dakar

“À l’école, je ne me sentais pas forcément à ma place, lance Adrien Donnat. J’étais plus sportif, dans la création. J’ai toujours voulu voyager, je ne rêvais que de ça. Puis mon père est comme ça aussi, c’est un baroudeur.” Après disparates voyages, isolé ou escorté, le Piscénois, âgé de 31 ans, se javelot pour le traversée de sa vie, ce mercredi 23 octobre : regagner Dakar, au Sénégal, en V.T.T.. Un promenade de comme de 5 000 km.

Vadrouilleur, Adrien l’a continuellement été. Depuis une dizaine d’années, il a réel en Australie, au Canada ensuite au Japon. “Avec ma compagne, on a voyagé pas mal autour du globe, indique-t-il. Des voyages d’un an, pour bien s’immerger dans la culture du pays. On a également vécu en Thaïlande, car c’est mon pays préféré.” Vidéaste de emploi, le Piscénois a d’éloigné écho une vidéodisque de cette observation en Asie sur sa bijou Youtube, Happy-Lattitude.

“J’adore Mike Horn, il m’inspire énormément”

Depuis qu’il est continuum frais, ce fonceur examiné infiniment de contenus en suite qui l’inspirent pile ses voyages : “J’ai toujours aimé regarder des films en lien avec l’aventure. J’adore Mike Horn, c’est une personne très humble, qui a fait le tour du monde avec rien. Il m’a énormément inspiré.”

Depuis vers ancienneté, il a soif de “s’engager écologiquement”, d’où cette estimation de errer à V.T.T.. Et il n’en est pas à son meurtrissure d’plan. “Cela me parle beaucoup de faire quelque chose de sportif, de me débrouiller seul, sans moteur, sourit l’aventurier. Voyager lentement permet de vivre des expériences que je ne vivrais pas si j’étais en voiture. Je l’ai déjà fait : il y a cinq ans, avec ma cousine, nous sommes partis de Paris et avons remonté la Loire jusqu’en Normandie. En 2017, j’ai également fait un Pézenas–Écosse, mais seul. Je l’ai un peu plus mal vécu car j’étais jeune, je n’étais pas préparé.”

Malgré complets les état qu’il a visités, un chaste distraction plus à son “palmarès”… “J’ai hâte de découvrir l’Afrique, s’impatiente-t-il. Là-bas, les gens ont une ouverture d’esprit différente de l’Europe, où les gens sont plus craintifs, moins ouverts à la rencontre.”

“Il y a une forme de magie lorsque l’on rencontre les gens”

C’est un mot qui revient usuellement pour son éloge, un caution fondamental pour son soif de errer. “Je suis très ouvert à la rencontre, explique Adrien Donnat. Cela permet de vivre des moments forts. Voir un beau paysage, c’est bien, mais il me manque un truc. Il y a une forme de magie lorsque l’on rencontre les gens. Ils ont tellement de choses à nous raconter, c’est bien plus enrichissant que de voir une belle cascade.”

Ce mercredi 23 octobre, il bout lors pile Dakar, où il s’est fixé un visée capital positif. “Je prévois de participer à un tournoi de lutte, assure le Piscénois. Ils sont très honorés que quelqu’un s’inscrive dans cette démarche car, la lutte sénégalaise est une tradition importante. Puis j’ai envie de me rapprocher d’eux, vivre des moments atypiques, sportifs. Ce combat sera la consécration de mon voyage, le final. Peu importe le résultat, je veux juste me créer de bons souvenirs.”

Et, identique il l’a écho pile la Thaïlande, Adrien Donnat facturé éviter son promenade pile matérialiser “un film ou un documentaire, inspirer les gens comme ils m’ont inspiré. Leur donner envie de voyager”. Il a même recette une domestique Facebook pile le poursuivre pendant son traversée : Happy Lattitude.