La “culture du viol” dénoncée chez des dizaines de manifestations en France

Procès des viols de Mazan, révélations sur l’Abbé Pierre ou sévices battu du faute de Philippine : des dizaines de manifestations ont eu place chahut 19 octobre fronton les édifice de droit de France à cause “dénoncer la culture du viol”, à l’signal de divergentes unanimes féministes.

L’un une paire de, Osez le féminisme, interpellation une “révolution institutionnelle”, surtout à cause que la “justice soit enfin rendue aux 94 000 victimes de viol et aux victimes d’agressions sexuelles chaque année en France”.

À Lyon, surtout de 300 public se sont rassemblées fronton le édifice de droit, lequel certaines habillées alors “Rosie la riveteuse”, élève de procréation et carré cramoisi à points liliaux noué sur la face, devenue un parabole de l’manumission des femmes.

Dans l’aréopage, Marion, 36 ans, a miss été composée à des blessures. Et sézigue se félicite que le arrêt de Mazan contribue à “une vraie libération de la parole : c’est la première fois que certains thèmes horribles comme les violences sous médicaments sont exposés”.

“Que la honte change de camp”

À Paris, une centaine de public se sont réunies fronton le ressort juridique, verso des inscriptions et des slogans appelant à ce “Que la honte change de camp” ou se demandant ce “Que fait la justice ?”

À Marseille, où une trentaine de public réalisaient rassemblées, divergentes manifestantes tenaient une étiquette à l’dessin de Gisèle Pelicot, scandant “Stop au non-lieu” et “Condamnation pour les violeurs”.

Selon une traité de l’Institut des politiques publiques publiée cette période, le marge de classements rien continuité s’élevait à 94 % en 2020 chez les firmes de sévices. Un monogramme qui diffère méchamment énormément de celui-ci à cause 2022 du devoir de la Justice, qui indique que, cette année-là, “68 % de ces procédures transmises au parquet ont été jugées non poursuivables, après examen par un magistrat, sur des critères juridiques”.

Pour Valentine Caffè, l’bataille Gisèle Pelicot est “presque un cas d’école” qui peut “faire basculer le droit”. Cette épouse de 50 ans espère que la France prenne prototype sur l’Espagne, lequel la loi “Solo si es si” (“seul un oui est un oui”, NDLR) fable que c’est à l’offenseur de déceler qu’il y avait adoption. “Quand j’ai expliqué ça à ma fille, qui a 12 ans, et à ses copines, elles n’y croyaient même pas”, regrette cette manifestante, qui dit diligent eu “honte”.

À repérer pourAffaire Pelicot : le sévices, un sacrilège de victoire et de conformité

Quelques monde réalisaient impartialement présents, alors Laurent Tramoni, 54 ans, “venu en tant que parent d’une petite fille de 12 ans et de trois garçons” : “Il faut à tout prix arriver à apprendre aux garçons à se modérer, à se contenir, à se confronter au refus, à la frustration”, clame ce déité de lignée et éducateur de mathématiques.

Pour la “fin de l’impunité”

Devant le édifice de Justice de Toulouse, les manifestants réalisaient une centaine en apparition d’parfois, fronton une longue couleurs où il voyait marqué “Violeur hors CHU”. La incorporation locale avait en suite une sens propre, cependant qu’un aspirant en allopathie offert à cinq ans de ergastule verso attente à cause agressions sexuelles doit boursicoteur sa moyens à l’lycée de allopathie occitan en brumaire.

Blouse livide sur le dos et étiquette “Aujourd’hui violeur, demain docteur” en mains, Ariane Roubi, tutrice en Occitanie du fédération d’internes Isnar-IMG, est avancée supplier la “fin de l’impunité” à cause les agresseurs génésiques.

À Strasbourg, chez les 200 manifestants, Ylio Bode, démonstrateur de 20 ans, a évoqué qu’il voyait “super important de se mobiliser”. Gisèle Pelicot, “ça pourrait être ma mère, ma sœur, ça pourrait être n’importe qui”. Pour Mariette, 23 ans, “la culture du viol est encore très présente, malgré les avancées du combat féministe. (…) Il faut qu’on arrête avec l’impunité des agresseurs et des violeurs.”

En septembre, 10 000 public avaient escorte chez les rues de France en échafaudage à Gisèle Pelicot, qui a refusé le porte entouré à cause le arrêt de son ex-mari qui la droguait à cause la affronter et la boursicoteur affronter par des dizaines d’inconnus. Cinquante distinctes monde, âgés de 36 à 74 ans, sont jugés en diagonale de son désormais ex-mari.

“Je dédie (ce combat) à toutes les personnes, femmes et hommes, à travers le monde, qui sont victimes de violences sexuelles”, avait-elle promis à la lourd.

Avec AFP