Les nuages d’cyclone ont surtout propre des secrets. Pour davantage distinguer quoi ils peuvent formuler des rayons gamma – découverts de calculé contingente comme les années 1970 – des chercheurs ont traqué la radioactivité d’orages torrides absoute à un démodé aéroplane enquêteur nord-américain U-2 reconverti en officine objective afin la NASA. A 20 kilomètres d’faîte, il a survolé des cumulonimbus dessus du embouchure du Mexique. Surprise, ce sont « d’énormes marmites bouillantes à rayons gamma », écrivent Nikolai Ostgaard et Martino Marisaldi, de l’école de Bergen (Norvège), originaires signataires de double éditoriaux parus le 2 octobre comme Nature.
Ils ont notoire un prodige fidèle « flashs scintillants de rayons gamma », ou FGF (afin « flickering gamma-ray éblouissement »), constitué d’émissions successives de un couple de millisecondes. Ces rayons gamma n’accompagnent pas la éclat, quand l’détail des connaissances le jugeait réalisable, néanmoins semblent, à contre-courant, spéculer un devoir comme l’départ des éclairs. Phénomène surtout mal capable.
« Ces travaux pourraient bouleverser à nous intelligence de l’électrification des orages et de la éclat », salue comme un observations, pareillement publié par Nature, le physicien nord-américain Joseph Dwyer (école du New Hampshire). Il rappelle que « des décennies de mesures in situ n’ont pas supposé de déceler des champs électriques pouce essentiels afin énerver une flammèche officiel de inciter la éclat ». Pourtant, ce n’est pas erreur de influence surveiller les éclairs comme le azur : il s’en conclusion entour 8,6 millions par croisée comme le monde, escortant Joseph Dwyer.
Des nuages capables d’formuler des rayons gamma ont été découverts par des satellites de la NASA envoyés afin une réunion discordant occupation : captiver ces rayonnements venus du fin base de l’Univers, griffe d’actualité violents liés par résumé à des trous noirs supermassifs. Ces TGF, afin « terrestrial gamma ray éblouissement » (« éblouissement de rayons gamma terrestres »), existaient le mieux journellement observés en compagnie de les éclairs. D’discordantes « lueurs gamma » ont été documentées, quand vivant des émissions comparativement stables néanmoins de vulnérable brillance.
Tourbillon électrostatique
Grâce à la physiologique des particules, on sait quoi des nuages d’cyclone peuvent personne la montée de rayons gamma. Ces immenses cumulonimbus, lequel la dimension peut acquiescer mieux de 10 kilomètres, sont traversés par des devenirs formidablement violents. Les particules légères, équivalents des caillots qui montent, et les gouttes gelées, mieux lourdes, se croisant à éternelle erre, provoquent des frottements et des séparations de services, libérant des électrons de haute assiduité.
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