L’environnementaliste, élu au palabre communal de Sète, avoisinant une estimation particulière quant à fixer les problèmes de parc à Sète.
“Et si on mutualisait les parkings privés à Sète plutôt que d’en construire de nouveaux ?” C’est un certain pas latéralement que propose l’élu environnementaliste Laurent Hercé pour une originale voie de pensée sur un cobaye singulièrement ardent à Sète : le parc. Aristide-Briand, propagation des horodateurs, congestion des abonnements en centre-ville, stationnement comble acceptation Est… Les raisons de trouer d’singulières solutions sont nombreuses. Alors, Laurent Hercé avoisinant une estimation. Nouvelle. Innovante. Voire songeur.
Un millier de lieux privées vides en morceau
À la nitescence d’une topographie suppôt (Google Maps) donnant un spécimen des stationnements privés sétois en morceau à un impératif T (Les Quilles/Villeroy [voir la carte ci-dessous], rocade Saint-Maurice, Convoqué/Jean-Macé, Corniche…), l’élu coïncidence l’annotation “qu’à chaque instant, des centaines de places de parkings privés sont inutilisées”. Laurent Hercé en a dénombré 1 000, ce jour-là. “Il en existe probablement autant en souterrain. De nombreuses résidences, vacance ou habitation, comptent au moins un parking offrant souvent autant de places que de logements.”
Ces 1000 lieux inoccupées “représentent entre trois et six parkings en ouvrage du type de celui de Victor-Hugo ou d’Aristide-Briand”, poursuit-il, en interrogeant : “Faut-il dépenser des millions d’argent public et couler des tonnes de béton pour construire des places qui existent déjà en surface ?”
Ubérisation du parc seul
L’élu propose une issue quant à unifier ces lieux à l’ouverture de parc de la état, “en temps réel, en toute sécurité, sans investissement ou presque”. De la même faire que de différents Sétois mettent en métayage à elles habitat sur des plateformes digitaux, “appliquons ce principe dans une régie municipale, pour mutualiser les places de parkings privés disponibles”. Autrement dit, infliger une “ubérisation” du parc seul à Sète.
“Par exemple, un touriste souhaite accéder à un quartier particulier, imagine Laurent Hercé. Il consulte la plateforme numérique, donne ses horaires, et se voit proposer des places libres. Il choisit celle qui lui convient. Il effectue un prépaiement en ligne. Arrivé à destination, il ouvre le portail avec son smartphone, directement comme un bip ou avec le code numérique fourni. À son retour, il récupère sa voiture, ouvre de même le portail, et quitte les lieux. L’heure de départ est enregistrée. La redevance de stationnement est partagée entre le propriétaire et la ville qui engrange ainsi des revenus permanents avec des investissements minimes.”
“Chaque jour, des centaines d’inconnus louent des logements. Pourquoi l’accès au seul parking serait-il plus risqué ?”
Si Laurent Hercé état les avantages d’un tel spéculation (liberté de lieux, embargo limité, gains financiers partagés pénétré Ville et propriétaires, prestige au sol réduite…), il répond également aux objections. Comme la nocuité de lâcher comprendre n’importe qui pour les résidences… “Chaque jour, des centaines d’inconnus louent des logements et entrent dans les résidences avec l’accès aux parties communes, le code d’entrée, les clés… Pourquoi l’accès au seul parking serait-il plus risqué ?”, réflexion Laurent Hercé.
Déjà recommandé par des opérateurs privés (Yespark), le élément ferait le gageure d’évoluer en organisation de parc. Laurent Hercé craint alentour d’idée en avoisinant sur son époque. “Mais si un jour une société du type “Air BnB” décidait de mutualiser les parkings dans toutes les villes, que va-t-il advenir des parkings en ouvrage qui se videront et qui auront été financés sur 30 ans ?” Bonne sujet…
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