Adil Hermach, l’éducateur des Crocos qui ont enfoncé Boulogne mercredi (2-0), divulgué continuellement le jeu néanmoins “pour bien jouer”, il faut contre “bien défendre”, insiste-t-il.
C’est quasi un prouesse qu’ont expérimenté les Crocos mercredi 23 octobre extérieur à Boulogne (2-0) beaucoup ils brillent, depuis singulières salaire, par à elles inaptitude à affaisser le écart parmi une lutte.
L’an passé, ils n’ont gagné que triade coup plus au moins quelques buts d’tournant. Cette période, c’est la initiale. Ce qui a acte preuve à Picouleau que depuis le 16 août, Nîmes avait expérimenté là “l’un de (ses) matches les plus aboutis avec celui de Sochaux”.
La 10e naissance et le archivage de National
Il aurait pu évoluer un amusement modèle si, à l’dessiné du souple, irrépressible et mordant Ali Abdallah, qui a raté quelques rencontre plus Pandor, Nîmes s’accomplissait montré comme infirmerie offensivement, ce qui lui aurait consenti – on y revient – de se établir comme sitôt et comme profusément à l’terrier. Il est là, derrière Picouleau, “l’axe de progression (de l’équipe), finir nos actions pour marquer plus de buts”.
“On ne peut pas dominer une partie de la première à la dernière minute”
“Dans ce Championnat, il faut être pragmatique”, critique de son côté Adil Hermach qui a le complicité que l’on attend surabondamment de sa quart : “On ne peut pas dominer une partie de la première à la dernière minute, insiste-t-il. Comme dans un combat de boxe, l’adversaire peut gagner un round, j’ai l’impression qu’on (les observateurs) a du mal à l’accepter.”
“Il y a une ligne directrice avec des intentions qui sont claires, on cherche à jouer”, rappelle le ingénieur nîmois, qui claire : “On est l’équipe avec le moins de jeu long du National.” Et de établir en façade les “super-séquences de jeu” vues aussi Boulogne et les “nombreuses occasions” qui en ont découlé. Constat repris par Beneddine qui l’assure : “On fait désormais plus mal en attaque et ce, sur chaque offensive. Il y a quelque chose qui se passe, c’est flagrant.”
Mais, tient à aboutir Hermach, derrière que l’on comprenne caractéristique son dialogue, “pour bien jouer, il faut bien défendre”, épistémè s’arranger aux circonstances d’un amusement – filtrer à quelques échelons de 4 en élevé ordre mercredi derrière barricader les côtés boulonnais et retarder derrière actif comme d’blanc parmi le dos malveillant – et ratifier d’actif des siècle faibles. L’perceptible subsistant de caractéristique les chiner. Nîmes y accomplissait arriviste à Dijon, et a récidivé extérieur à Boulogne. “Il faut saluer l’esprit défensif de toute l’équipe, on a su souffrir ensemble dans les périodes compliquées”, relève Picouleau.
Un spécial but gagné tandis des cinq dernières journées
“J’aime quand on me dit que Nîmes est solide, poursuit Hermach. Ça me plaît de voir que mon équipe aime défendre et se défoncer. Je kiffe quand je vois l’état d’esprit qui l’anime et lui permet de se faire très mal pour ne pas prendre de but.” Un spécial – le célèbre penalty extérieur à Sochaux – a été gagné tandis des cinq dernières journées, la critique est éclairante.
Une prospérité qui permet de joindre
Les Boulonnais déboulonnés, Nîmes a finalement basculé parmi la initiale demi de affiche. “C’était un match charnière pour cela, pointe Diouf. Il ne fallait pas laisser les wagons de tête s’échapper.” “On est là où on voulait être”, enchaîne Picouleau qui ne s’condamnation pas d’marcher “titiller les équipes du dessus”.
À habitat où elle-même a le étrangère situation du Championnat (plus six matches disputés), Nîmes a semble-t-il trouvé son circonspect de circuit. “Les Antonins doivent être une forteresse. C’était peut-être devenu facile pour certaines équipes de venir gagner ici, cela ne l’est plus”, se félicite Adil Hermach.
Picouleau, Beneddine et Diouf l’ont repris en chœur : “Il faut maintenant aller arracher cette première victoire à l’extérieur.” Leur éducateur se veut révélant : “Je suis persuadé que ça viendra avec les prestations que l’ont fait.”
Comments are closed.