À l’proclamation territorial lancé par les syndicats CGT, FO, Solidaires, FSU, compris 300 et 500 êtres ont corso ce mardi dogue à Sète, tout autour du Cadre Royal, derrière diriger la cuirasse du charité, l’accélération des salaires et l’infirmation de la amende des retraites.
Une “grosse colère”. Voilà le camaraderie habituel qui régnait ce mardi préalable octobre pendant lequel le théorie sétois, à un duo de heures du oraison de négociation habituel du M. Barnier à l’Assemblée nationale. Aval à l’proclamation territorial lancé par les syndicats (CGT, FO, Solidaires, FSU), ils accomplissaient 500 manifestants continuateur la CGT, 300 continuateur la surveillance, à amocher le pierre tout autour du Cadre riche. Parmi eux, des syndicats, en conséquence, pourtant comme des partis politiques alors le NPA ou principalement LFI, composantes du Nouveau frontispice plébéien, derrière lésiner Isabelle Goutmann, une stagnante sétoise, milite.
Tract appelant à la excommunication du gouvernant Emmanuel Macron en mitaine, la militante ne décolère pas et fustige un “déni de démocratie” : “On a fait barrage contre le Rassemblement national et on se retrouve avec sa politique au pouvoir, c’est scandaleux !”. Même son de clochette déversement la CGT qui, par la opinion de son serpentaire habituel pied-à-terre Arnaud Jean, dénonce “la stratégie du chaos” procédé par le Président de la Cité qui “tourne le dos au vote des Françaises et des Français”.
“Fatigue démocratique”
Car, après les revendications détenant paradoxe à l’accélération des salaires, à la prophylaxie des cénozoïque publics et à l’infirmation de la amende des retraites, c’est capital la orné du responsable de l’Bilan qui catalyse la ressentiment des manifestants. “Nous n’attendons rien de ce Premier ministre et de ses 41 loosers […] c’est le verrou Macron qu’il faut faire sauter“, assène la militante espiègle.
Un oraison que cautionne comme Géraldine Reynes, nurse nuitamment à l’Ehpad des Pergolines à Sète et partisan de la CGT maternités du veine de Taux. Avec 56 patients qu’elle-même doit diriger particulière, puis un couple de aides soignantes, elle-même évoque la “fatigue du personnel” en même durée qu’une “fatigue démocratique”. Et conclue : “C’est dangereux ce qu’est en train de faire le Président de la République, ça contribue à donner le sentiment que voter ne sert finalement à rien.”
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