Nouvelle-Calédonie : les avocats des militants indépendantistes transférés en agglomération demandent le dépaysement de la ergotage

“On ne peut pas laisser ce dossier aussi sensible aux mains de la justice de Nouméa, qui ne peut pas travailler sereinement”. Les avocats montpelliérains des sept militants kanaks mis en consultation et incarcérés fin juin en agglomération, consécutivement des tumulte possédant éclaté en mai en Nouvelle Calédonie, continuent à interroger le dépaysement de l’inquisition procédurier, avec que des interrogatoires ont été effectués reflux septembre par les juges d’initiation.

Le calomniateur global de la procession de suppression conçu

“Ils sont dépaysés, séparés, dispersés, loin de leur famille et loin de la justice qui est chargée de les juger, puisque le dossier est toujours à Nouméa”, souligne Me François Roux, du échelon de Montpellier, qui a conçu le calomniateur global de la procession de suppression, postérieurement le sursis de la procession d’invite de Nouméa de se dessaisir de cette inquisition incendiaire.

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Christian Tein, le dirigeant régionaliste qui voyait à la haut de la Cellule de synchronisation des besognes de place (CCAT) a été mis en consultation et incarcéré fin juin à Mulhouse surtout à cause sentiment de esquisse de forfait et incorporation de malfaiteurs en vue de la acte d’un assassinat. Six changées militants indépendantistes ont éprouvé un aubaine analogique, quelques femmes possédant depuis été remises en souveraineté à cause dépendre placées au-dessous possédé procédurier, pendant lequel l’Hérault et le Puy-de-Nues.

Deux juges sont venus de Nouméa à cause les sonder

Courant septembre, les quelques juges d’initiation chargées de cette inquisition tentaculaire sont venues en agglomération, à Bourges et à Lyon, à cause commander une dramatique d’interrogatoires sur les faits qui à eux sont reprochés.

“Christian Tein n’a jamais donné d’instruction de commettre ces exactions, et aucun élément dans le dossier ne le démontre. Il n’y a pas le moindre élément après quatre mois d’instruction pour caractériser une implication criminelle” insiste Me Florian Medico, l’un de ses avocats. “Aucun appel, texto, aucune audition de témoin ne le met en cause dans le cadre d’une organisation qui aurait pour but de commettre des exactions. Les charges sont exclusivement ses prises de paroles et ses discours. Nous sommes dans le cadre d’actions quasi syndicales qui reçoivent une répression pénale. Christian Tein paye son statut d’incarnation de la révolte kanak.“

Un marché sauvage et avilissant

Même exposé à cause Me François Roux, qui a assisté les sept militants tandis de à elles interrogatoires. “Tout a été examiné, leur ordinateur, leur téléphone, leurs conversations, leur bureau, et même leurs corps lors des fouilles. Lors des interrogatoires ils n’ont été confrontés à aucun élément qui puisse appuyer leurs mises en examen. Ces responsables politiques ont été débordés par des exactions venant de populations que tout le monde a négligées. Est-ce qu’on a poursuivi Laurent Berger lorsqu’il y a eu de la casse en marge des manifestions contre la réforme des retraites ?”

Les avocats s’insurgent pareillement aussi les circonstances du marché en agglomération des sept mis en consultation, au tirer du affaire du dieu d’initiation fin juin. “Il y a une enquête en cours pour savoir qui a décidé des conditions inhumaines et dégradantes de leur transfert. Pendant la nuit en garde à vue, on les attachait au mur, le bras en l’air, avec des menottes. Je n’ai jamais vu ça. Ils ont été menottés pendant tout le transfert, y compris pour aller aux toilettes, dont les portes restaient ouvertes, même pour les deux mamans, alors qu’il n’y avait que des militaires hommes dans l’avion. Ces mamans parlent d’un cauchemar, et elles n’en sont pas guéries” insiste Me François Roux.