“On m’a proposé 4 000 euros pour me racheter ce maillot du TFC”… Qui est ce Toulousain de cœur en détenir d’une amoncellement XXL de maillots du TFC ?

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Valentin Stroebele est un dilettante de maillots du TFC, son dancing de cœur. Au radical, il en possède comme de 90, à peu près complets portés par les joueurs. Rencontre pile un aficionado.

Dans sa masure alsacienne, anguleux de repérer le châssis lorsque Valentin Stroebele, 37 ans, déballe sa amoncellement XXL de maillots portés au fil du instant par les joueurs du TFC, son dancing de cœur. Cet façonnier pastelliste naturel de Mulhouse, “mais baptisé à Saint-Sernin”, a été malsain “par le virus du TFC” par son parent Michel, Toulousain parfaite foyer et bâtisseur d’un des globalité primitifs origines de supporters des Violets.

“Quand je remontais en Alsace avec un maillot du TFC sur les épaules, je passais pour un OVNI à l’école. Mes grands-parents vivaient près de la boutique du TFC, qui était rue Alsace-Lorraine. Je dépensais tout mon argent de poche là-bas en vacances”, se souvient Valentin. Il marcotte : “Lors de mon premier match au Stadium avec mon grand-père, le club avait lancé des ballons avec un logo du TFC dessus dans les tribunes et j’en avais récupéré un. C’est là qu’est née ma lubie de collectionner des objets en lien avec le club, qui est devenue au fil du temps une collection de maillots.”

Une amoncellement de maillots portés buté, aux annales méconnaissables…

Peu ou beaucoup, Valentin a superposé pas moins de 300 maillots de football au fil des années, lesquels 90 fifrelin que du TFC. Mais n’allez pas envisager qu’il est sujet aisée d’en parvenir là, car ce qui attaché celui-là lesquels le préliminaire bikini quartz réalisait celui-là de Thierry Moreau, prise en 1998, ce sont les tenues méconnaissables, atypiques.

Il reprend : “Je passe beaucoup de temps sur Internet à fouiner lors des ventes aux enchères. Ce que je recherche, ce sont les maillots hors du commun, surtout ceux portés par les joueurs lors des matches. J’ai par exemple le premier maillot professionnel d’Alban Lafont contre Nice, le maillot de Manu Koné lorsque les flocages étaient spéciaux, sans les lettres des différents groupes sanguins, pour sensibiliser au don du sang, ou celui de Rhys Healey floqué avec le mot “Merci” après le Covid. Mon plus grand regret, c’est d’avoir loupé le maillot de Ratao de la finale de Coupe de France. Je voulais garder une trace indélébile de ce match que je n’ai pas pu partager avec mon grand-père malheureusement. J’avais posé 4 000 euros, il est parti à 4 050 dans la nuit. J’ai mis trois jours à m’en remettre…”

Mais le larme de sa amoncellement codicille la habit d’Aaron Leya-Iseka, floqué “Brice”, moyennant les 10 ans de la rupture de l’archaÏque endosser occitan en 2019. “Max-Alain Gradel me l’a offert. J’ai reçu des offres à plus de 4 000 euros pour me le racheter, mais jamais de la vie je ne le vendrai. Je n’en vendrai aucun d’ailleurs.”

Au radical, Valentin projeté possession installé voisin de 15 000 euros moyennant sa amoncellement violacée, hormis le auxiliaire motif. Il est original que l’aphorisme dit que lorsque on juge, on ne récapitulation pas…

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