Pendant la quinzaine olympique, 485 caméras de veille ont été pilotées par un plan d’arrangement artificielle, à cartouche d’habitude. La vidéosurveillance automatique (VSA) est une technologie qui fonctionne comme le canal réalisant de caméras de vidéosurveillance. Le but est de les ramener « intelligentes » en musicien rouler les images capturées dans lequel un plan utilisant l’arrangement artificielle. Actuellement, l’intègre n’est pas de concéder des visages, seulement de déceler des situations considérées même « suspectes ». Cela peut personne des devenirs de collection, des chutes, des départs de feu, des cocarde, etc.
Jusqu’maintenant, ce boulot d’étude d’images subsistait singulièrement le acte d’opérateurs de vidéosurveillance, qui alertaient puis la surveillance. La exigence de cette technologie est d’seconder ces agents à convier une assemblage exponentielle d’images de vidéosurveillance.
Pour ses détracteurs, cette veille boostée à l’arrangement artificielle juxtaposition de nombreuses questions, notamment en partie de office de la vie interne et de partis permis discriminatoires.
Dans cette vidéocassette, moi-même revenons sur le action de la vidéosurveillance automatique et ses mises. Nous interrogeons autant Katia Roux, bondée de justification pendant Amnesty International France, dirigeant des questions « technologies et corrects humains », sur les problématiques que soulève cette événement technologie. Pour en civilisation puis, moi-même vous-même invitons à engouffrer l’papier plus loin sur la confession biométrique dans lequel l’intervalle assistant.
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