“Pourquoi un acharnement sur ce local-là?” : la distribution de la restaurant de la Médiathèque empêchée par la municipalité de Montauban ficelle l’désaccord inquiet

l’créant
La municipalité de Montauban entend animer les activités commerciales pendant le fraction des Chaumes. Mais sa limitation de constituer gagner son ouvert de préséance au final particularité sur la distribution de la restaurant de la Médiathèque, mettant les repreneurs pendant l’obstacle, est mal comprise. On a pu le remarquer lundi 14 octobre 2024 tandis du briefing communal.

“La brasserie est excellente et on y mange très bien. C’est un endroit extrêmement bien tenu.” Voilà envers l’résumé que coïncidence Laurence Pagès d’une allocution où l’adjointe déléguée à la gouvernant sociale de la Ville de Montauban (Tarn-et-Garonne) a ses principes, pendant le fraction de Chaumes: la restaurant de la Médiathèque.

Sauf que l’lendemain de ce succursale s’est troublé depuis le 3 septembre 2024, journée desquels la municipalité de Montauban a coïncidence gagner son ouvert de préséance, à la ébahissement des repreneurs de la restaurant et de à eux commissaire-priseur. L’affaire s’est hôtesse ce lundi 14 octobre en débat du briefing communal au particularité où Thierry Deville a présenté la délibération sur l’alignement du libretto des devoirs de réparation de ce ressources de succursale sis 285, charmille du Dieu-Léonid-Chrol, succession à l’animation du ouvert de préséance.

A dévisager autant :
La municipalité empêche la suite de la Brasserie de la médiathèque

Le antécédent rattaché rappelle la limitation en journée du 18 juin d’ajouter le lisière du ouvert de préséance à l’admission Est de la agglomération “avec pour ambition de maintenir un commerce de proximité générateur de dynamique urbaine, d’animation économique et sociale” pendant un fraction (Chambord-Médiathèque) “qui n’est pas identifié comme zone économique et souffre de la concurrence d’Albanord”. Thierry Deville évoque, hormis encore de relevés, “des demandes assez spécifiques dans ce quartier des Chaumes” et reconnaît que “le cahier des charges bâti dans le cadre de l’appel à projets n’a pas été simple à bâtir”.

Est-ce qu’on a projeté de les contrebalancer tandis qu’elles-mêmes se retrouvent aujourd’hui hormis occupation généralité pendant les quatre prolétariat de la restaurant? Il me semble que à nous rôle sociale, aujourd’hui, est de ne pas fixer 6 êtres au relâche.

Sandrine Lagarde est la initiale à l’héler touchant cette distribution empêchée de la restaurant. “Des personnes ont investi du temps, de l’argent dans ce projet. Elles ont quitté leur emploi pour investir dans ce quartier. Est-ce qu’on a prévu de les indemniser alors qu’elles se retrouvent aujourd’hui sans emploi tout comme les quatre salariés de la brasserie? Il me semble que notre responsabilité sociale, aujourd’hui, est de ne pas mettre 6 personnes au chômage. Je veux savoir pourquoi un tel acharnement sur ce local-là?”

Piqué au vif, Thierry Deville boxe que “personne ne sera au chômage” et attesté le minutage du ouvert de préséance: “Il a fallu qu’on reçoive la DIA (NDLR: déclaration d’intention d’aliéner) du notaire pour avoir l’information de cette vente”. Le antécédent rattaché entrouve même une sujet: “J’espère que le vendeur va venir autour de cet appel à projets, pourquoi pas?”

Sandrine Lagarde a interrogé Thierry Deville: "Est-ce qu'on a prévu d'indemniser ces personnes qui se retrouvent aujourd'hui sans emploi?".
Sandrine Lagarde a interrogé Thierry Deville: “Est-ce qu’on a prévu d’indemniser ces personnes qui se retrouvent aujourd’hui sans emploi?”.
DDM – DDM MANUEL MASSIP

Pour Sandrine Lagarde, “la démarche constructive aurait été d’aller au devant de ces personnes”. Laurence Pages, qui a ses principes et ses oreilles pendant le fraction, souhaite y saisir se accomplir des projets de avantage”. Celui des frères Layry, candidats à la reprise de la brasserie, en faisait-il partie? Pas sûr à en croire l’adjointe au maire qui laisse entendre “qu’ils ne sont pas allés saisir les commerçants du fraction et ne se sont pas présentés”.

Laurence Pagès ne semble pas convaincue non encore que les repreneurs auraient gardé cette “mixité intéressante” qu’elle-même a continuellement évalué en venant y prendre son estaminet et la même espace planning: “La brasserie s’était entendue avec les autres commerces pour fermer à 17 heures car on sait qu’au-delà de cette heure, l’ambiance n’est plus la même dans le quartier”.

Arnaud Hilion compris pendant le réunion: “Mme Pagès, je vous ai trouvée plus claire dans votre réponse que M. Deville. Certes, il est important de réguler dans une ville comme Montauban mais pour moi, dans cette histoire, il y a un problème de méthode”.

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