Lors d’une comptoir ventrue de la Liga sur la colère dans lequel le délassement, Fernando Morientes a personnifié le xénophobie qu’il a pu consigner endéans sa manège. Il a salué les rétablissement réalisés et clair l’crainte de aviser ce gage complètement éradiqué.
“Avant, on m’insultait parce que j’étais fils de policier, on jetait une banane à Roberto Carlos et je riais, mon collègue riait. Nous avions banalisé ça.” À l’fripe d’une comptoir ventrue triée par la Liga sur la colère dans lequel le délassement, Fernando Morientes, démodé sportif du Real Madrid et de Valence s’est retrouvé aux côtés de étranges athlètes pardon Marcos Senna, ex-joueur de Villarreal sportif d’Europe comme la Roja en 2008, pile jacasser du xénophobie dans lequel la corps espagnole.
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Si chaque personne a pu attribuer son poster sur l’transmutation de la corps et son profit comme cette conflictuel, Morientes a personnifié certaines situations qu’il a pu pain. “J’ai joué avec Seedorf, Makelele, Roberto Carlos… Ils ont été insultés sur les terrains de football et nous n’avons rien fait. Nous avons même ri. Quand vous allez à l’étranger et qu’on vous traite différemment, vous le remarquez. Ils en ont souffert dans leur famille”, confie l’antagoniste hispanique.
L’chef indien a pu aviser l’transmutation au fil des années et a acte un introspection. “Maintenant, avec le temps, je vais sur les terrains et je me dis ‘comme ça a changé’. Aujourd’hui, vous pouvez dénoncer quelqu’un à côté de vous. Il y a eu une énorme évolution” dit-il comme supériorité.
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“J’ai des applications pour dénoncer les problèmes. Récemment, le match des youtubers a été arrêté. Cela n’arrivait pas avant, je parle d’il y a 10 ans. On considérait que ça pouvait arriver. Mais ce n’est pas le cas. Ces types sont très éloignés non seulement du terrain de football, mais aussi de la société” ajoute-t-il. “Je vois comment les gens apprécient leur équipe. Quel est l’objectif, l’éradiquer à 100 % ? Je l’espère.”
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