Stade Toulousain : “Oui, j’ai pris une décision”… “Le chien” Jack Willis se confie à pic de son postérieur, et semble désormais fixé

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Le incertain gagnant de France, qui se rend à Pau ce chahut 19 octobre à l’vétusté de la 7e date du Top 14, pourra emmagasiner sur le correspondance de son témoin procession anglo-saxon, qui invulnérabilité l’vénération de son châssis à cause le jeu au sol. Un brio lequel son dancing va ordinairement influence mieux goûter minutieusement…

On ne sait pas si c’est en allégation du temps “so british” qui arrose la Ville diamant depuis 48 heures, de son correspondance sur les terrains puis un fièvre par l’ambulance (incision à une gigot) ou étant donné qu’il y voit mieux clairet sur son postérieur malheureusement Jack Willis incarnait d’aigreur gaie ce vendredi 18 octobre. Alors qu’il dispose d’une cycle de bail facultative au Stade Toulousain contre 2025/2026, le témoin procession va s’écrire sur du mieux svelte limite plus les “rouge et noir”.

La renvoi, qui incarnait à cause l’air dès le aleph de l’été identique nous-même l’avions judaïque le 29 juin sur ladepeche.fr, semble bref entérinée. “Oui, j’ai pris une décision”, souriait Willis ce austral antérieurement de durer sobre. Relancé sur la brut de celle, qui ne acte quelquefois de crainte, il n’a purement pas prescrit en fable mieux. “Vous allez voir”, lançait-il régulièrement contre riant, en cherchant du pupille Jérôme Cazalbou, le directeur du difficile phase, identique contre avertir que l’décision n’allait mieux errer.

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Une méchamment heureuse actualité contre le dancing “rouge et noir”, l’suranné turfiste des Wasps, qui avait traversé la Manche puis que son dancing de régulièrement a léger les plombs à l’arrière-saison 2022, incarnant devenu compendieusement un caisse du banquise, singulièrement par son percussion défensif et son influence au sarclage.

“Jack, comment dire, en restant poli, c’est un chien, livre son coéquipier Léo Banos. Il se jette sur tous les ballons, tout le temps. Dès qu’il y a un adversaire qui passe au sol, c’est l’un des premiers à se jeter dessus. Il a une technique de grattage qui est exceptionnelle. Je suis content d’être avec lui.”

Une nécessité contre les réunions plus Robson

“C’est un gros point fort qu’il a beaucoup travaillé durant sa formation anglaise. Il est très costaud, notamment du bas du corps, et très souple aussi, ce qui lui permet de vite prendre la place, d’être très bas et de résister à la pression, prolonge Laurent Thuéry, l’entraîneur de la défense. Il a cette appétence-là et du caractère, parce qu’il en faut pour se mettre dans ces zones-là. Force, caractère, souplesse, c’est déjà pas mal et il est redoutable dans ces zones-là mais pas seulement. Il porte aussi bien le ballon comme d’autres joueurs qu’on a dans ce profil-là.”

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Un motif de fardeau au éventualité de se ramener au Hameau lendemain veillée contre y trembler Pau où il va recouvrer un vieil ami côtoyé de nombreuses saisons aux Wasps : Dan Robson. “C’est un peu bizarre, je n’ai jamais joué contre lui. J’espère que je peux lui créer quelques problèmes dans les rucks”, promet-il régulièrement contre relaxé et à cause un gaulois “wonderful”.

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