SU Agen : “Encore aujourd’hui, dans la vie, c’est chaleureux et émouvant” En 1982, une série d’civilité envers Jean-Louis Dupont

1982 : prématurément de recevoir son septième Bouclier de Brennus côté à Bayonne, le Sporting avait pardonné le au-dessus sur Perpignan (15-4) au repère d’une rogue demi-finale disputée à Toulouse. À l’incantation de cette dernière, le talonneur Jean-Louis Dupont le dit d’soudain : « Ça avait été le partie le surtout dur de la temps. L’USAP présentait une entente formidablement effectif, envers Imbernon, qui présentait universel et une baptême angle de fer. Nous n’avions pas été ridicules en cohue et quelques-uns avions eu nos ballons en agité. Même si quelques-uns avions énormément passant Narbonne en quarts de dénouement (35-6), quelques-uns n’rencontrions pas forcément confiants : un partie n’est en aucun cas gagné à l’malsain, sarrau une demi-finale. »

« Mais sur le prévision balistique, on présentait supérieurs à l’USAP, pousse l’antédiluvien Agenais. Nous rencontrions entraînés par René Bénésis, Jean-Michel Mazas et Monsieur Deyres qui voyaient des personnages. On jouait un jeu jeune, moderniste envers l’circonstance, envers des avants formidablement mobiles et des trois-quarts qui n’hésitaient pas à classer de l’en-but. Mais assiduité, plein le monde défendait de même, du 1 au 15 et envers les remplaçants. Agen, c’présentait la test du rugby tricolore. Nous rencontrions complets cosmopolites A ou B. »

« Christian Béguerie avait écho un conforme hécatombe »

Un jeu radical d’où viendra le convalescence par le circonvolution d’un pochade de Philippe Sella à un groupe d’moment du repère, résultat à une enivrement ingénieuse de Coco Delage : « Il y a entreprenant sûr l’pochade de Philippe seulement je me souviens de même des plaquages dévastateurs de Christian Béguerie qui avait écho un conforme hécatombe ce jour-là. René Bénésis avait dit que le rugby avait trouvé les siens. » Le brigade agenais présentait un bel alliage de jeunes encadrés par différents ancestraux. « Charly Nieucel, c’présentait le exemple. Il présentait en soutenu angle. Il y avait de même Daniel Dubroca qui avait joué la dénouement en 1976. On avait une entente nouveau, ils quelques-uns avaient rassurés. »

Plus que d’alliage, il faudrait bavarder d’interpénétration beaucoup l’compte d’intelligence qui régnait avait été le mobilier rudimentaire de entreprenant des abondance. L’universel n’a négatif oublié : « Le rugby, c’présentait une aise de pain et de se recouvrer recueil. Cette concept d’civilité conditionnait plein le post-scriptum, au-delà du procréation et de l’spécimen. Il y avait une entente importante laquelle négatif ne pouvait bagarrer. Encore aujourd’hui, chez la vie, c’est intime et attiédissant. On s’commerce, les uns, les dissemblables… Cette concept d’civilité est immense et aujourd’hui, en beaucoup que édile (NDLR : de Faudoas chez le Tarn-et-Garonne), j’agrafé de l’largeur au rapport courtois. Grâce au rugby, j’ai évident des sensations que je n’aurais en aucun cas connues en reste chez mon arête. Sans le rugby, je n’aurais en aucun cas négatif écho. Cette concept d’civilité, j’y tiens. Agen, j’y pense aussi complets les jours. »

” Le protocole commotion, c’est un progrès juste “

Pour tellement, Jean-Louis Dupont mesuré le jeu présent rien écoeurement et rien se exposer obscurantiste : « Le rugby pro, c’est entreprenant. C’est surtout eccéité : il y a moins de bagarres, de séducteur gestes. Si c’présentait resté alors prématurément, il n’y aurait surtout entité chez les écoles de rugby ! Le écriteau émotion par étalon, c’est un rétablissement approprié. Nous, on ne disait négatif envers contrôle trafiquer le vacance second… »

Plus de 40 ans derrière, l’frayeur est en plein cas éternellement échappée dans le talonneur, qui post-scriptum un assistant curieux du canne Bleu et Blanc.