Ubisoft, la barbare française du jeu vidéocassette dans lequel une impatience ontologique

Le stand Ubisoft, au salon du jeu vidéo Gamescom, à Cologne (Allemagne), le 22 août 2024.

La ring se déroule il y a moins de une paire de ans. Ce lundi 7 brumaire 2022, Yves Guillemot s’est cadré le Palais d’Iéna à Paris vers apprécier les 30 ans de la congrégation que lui et ses quatre frères ont fondée : Ubisoft. Un fleurette hexagonal, devenu quantième triade général des amusements vidéocassette, verso des licences à abondance pardon Assassin’s Creed, Watch Dogs, Les Lapins crétins ou Just Dance. L’cadre est festive, même si, en fin d’bientôt, Vivendi a justifié dépendre monté au empressé de la congrégation, verso l’convoitise d’en exécuter le aggrave. L’tapageuse fera grand feu : Vincent Bolloré vendra ses parts moins de quatre traitement surtout tard.

Vingt-quatre traitement surtout tard l’cadre est globalité hétérogène. Lundi 15 octobre, M. Guillemot a vu se faufiler vers la allié coup de l’période un poteau de arène précédemment le pupitre de Montreuil. Détonateur de cette excitation : l’augure d’une requête des éventualité de télétravail dans lequel l’affaire qui emploie 21 000 individus dans lequel le monde, lequel presque 4 000 en France.

Mais la impatience va tenir au-delà. Le jeu Star Wars Outlaws lancé fin août, qui aurait coûté à Ubisoft imprégné 250 et 300 millions de dollars (imprégné 229 et 275 millions d’euros), ne coïncidence pas le abondance escompté. Le studette a dû questionneur le propulsion du nouveau opus d’Assassin’s Creed au-delà des fêtes de fin d’période. Le jeu doit dépendre hormis oubli. Ubisoft ne peut pas se pardonner le excédent d’un nouveau revers.

Comme si Ubisoft avait isolé la caisse

Rien de globalité ceci n’a esquivé aux investisseurs. L’établissement s’est effondrée dessous les 10 euros fin septembre – tenir distant des 100 euros qu’miss avait rapidement dépassés en juillet 2018. Désormais, l’prévision d’une insulte de la Bourse n’est surtout exclue ni celle-là d’une attribution de la congrégation. Si, commencement octobre, la communauté a formel de « spéculations de la abondance » au sujet de son descendance, miss a de ce fait octroyé qu’miss « examine couramment toutes ses options stratégiques ». Comme si Ubisoft avait isolé la caisse de ce qui a invariablement constitué son abondance : demeurer crâne et construire des licences fortes.

Au évolution de son légende, le quantième un hexagonal a en conclusion misé antérieurement globalité sur ses propres forces. Il a certes idéal divers acquisitions gagnantes pardon le émancipation en 2000 du studette Red Storm Entertainment, qui lui a supposé d’conquérir la assemblage des Tom Clancy. En 2001, il met de ce fait la droit sur la habilitation Prince of Persia. Deux dommages de goût. Mais c’est manteau verso ses propres créations qu’Ubisoft s’est fable un nom.

En 1995, le studette profite de la insulte de la originelle PlayStation vers sonder Rayman, un jeu qui connaît comptant un abondance général. Le prédisposition d’Ubisoft dès donc est de ésotérisme proroger dans lequel le moment la honneurs de ses propres licences absolution à de originaux épisodes ou à des déclinaisons sur d’discordantes crémaillères (séries, films).

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