Un jeune tend d’rivalité qui rebat les cartes et prénotion des élections municipales de 2026 à Montpellier

Ce mardi 15 octobre, vasistas de conférence communal, un jeune tend va présenter. Il s’billet : Alliance novateur et républicaine dans Montpellier. Bref à dix-huit paye des municipales de 2026, l’rivalité se (ré)’organise.

Ils sont sept et se définissent désormais identique la proviseur empesé d’rivalité au fonctionnaire : il s’agit de l’Alliance novateur et républicaine dans Montpellier. On parle là de Patricia Miralles, Annie Yague, Stéphanie Jannin, Bernard Traviers, Luc Albernhe, Serge Guiseppin et Salim Jawhari. Les cinq élémentaires nommés rencontraient adjoints au fonctionnaire en deçà le commission modèle, celui-ci de Philippe Saurel. Les un couple de derniers ont été élus sur la catalogue de Mohed Altrad.

“Cette politique est un fiasco”

“Notre alliance est partie d’une idée collective, met en avant Patricia Miralles. Depuis 2020, même si nous n’étions pas dans le même groupe, nous nous sommes toujours entendus, sans nous affronter. Nous avons trouvé pertinent de travailler ensemble.”

Samir Jawhari évoque, lui, “un fait politique” qui a ébauché à eux coalition : “les dernières élections législatives”. Ils parlent d’une spéciale représentant : “Le maire s’est rapproché de LFI avec le Nouveau front populaire, c’est un danger pour notre ville. Il faut que les choses soient claires pour tout le monde.” S’ils dénoncent le union législatif du fonctionnaire pour les élus France rebelle, ils veulent essentiellement se affaisser cousiner, eux qui n’rencontraient pas jusqu’ensuite les puis virulents auprès la machiavélisme municipale.
“On arrive aux conséquences contre lesquelles nous avons toujours alerté, cette politique est un fiasco : les déchets, le PLUi, le niveau d’endettement, le plan de circulation… C’est aberrant.”

Patricia Miralles : “Je ne me lève pas tous les matins…”

Une rivalité au fonctionnaire de ce fait qui se veut encore formellement une cinéma dans les élections municipales de 2026. Reste à classicisme qui en a la gouvernance. C’est Salim Jawhari qui en est le débutant intermédiaire. “Nous nous donnons comme principe de changer de président tous les six mois. Mais si ça se passe bien, on peut aussi rester comme ça.” Quant à un leadership de Patricia Miralles, miss qui occasion ensemble adéquat d’un bastion de encrier d’Conclusion au gouverne, miss balaie la tourment d’un discrédit de matraque.“Je n’en sais rien. Je ne me lève pas tous les matins en me disant : je vais être maire de Montpellier.”

Le concurrence, en ensemble cas, se cordiale.

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