Vente de l’affaire qui contrecoup le Doliprane à un dissous étasunien : le ambassadeur de l’Singe veut des “garanties” de Sanofi

Antoine Armand veut caractère sûr que cette abandon n’affectera pas la majesté hygiénique française.

Le ambassadeur tricolore de l’Singe et des Finances, Antoine Armand, a promis dimanche réclamer des “garanties extrêmement fortes” de la segment de Sanofi sur la sortie du Doliprane, derrière que le boutique tricolore a annoncé soupçonner de concéder sa bipartition de personnalité étendu assistant à un dissous étasunien.

“Rassurer les salariés et les Français”

Sanofi a promis vendredi caractère entré en négociations exclusives pour le dissous étasunien Clayton Dubilier & Rice (CD & R) comme lui concéder 50 % d’Opella, sa bipartition de personnalité étendu assistant qui contrecoup le Doliprane – le capsule le surtout dénoncé en France. “Produire du Doliprane en France, c’est notre stratégie industrielle, souveraine, sanitaire, et ça doit le rester”, a dit Antoine Armand sur BFM TV. “Nous devrons demander des garanties extrêmement fortes […], de nature à rassurer sur le moyen terme, à la fois les salariés et les Français”, a-t-il additionnel.

Sur le coin de sortie ce lundi

Faisant épistémè qu’il se rendrait lundi en voisinage du ambassadeur entremetteur chargé de l’Industrie, Marc Ferracci, sur le coin de Sanofi qui contrecoup le Doliprane, à Lisieux (Calvados), il n’a pas éliminé l’théorie de s’contester si caisse à cette amodiation, également il en a le commandement, comme réfugier la majesté manufacturière française. “J’aurai l’occasion de m’exprimer sur ces sujets ce lundi avec les salariés et leurs représentants […] C’est important de dire que nous sommes à leurs côtés et que nous demanderons effectivement des garanties très claires”, a promis Antoine Armand. “Rien ne me paraîtra interdit au premier abord.”

Comments are closed.